Reécriture des notes du carnet noir d'Erik

Ouais sans blagues, ouais, et ça c'est le forum à Chimel ouais, C'EST QUOI MON NOM?

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Darano
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Reécriture des notes du carnet noir d'Erik

Message par Darano »

Voilà quelques moment de calme.

Erik décroche la poche de cuir qu'il a à la ceinture. Il la pose sur le bureau de campagne. il regarde qu'il est seul. Puis il va chercher dans son sac une boite en bois. L'odeur qui s'en dégage le rend nostalgique. elle sent le bois humide. Cela lui rappelle sa terre natale; Deepwood.

Il vide le contenant de la pochette sur le bureau. et en fait rapidement l'inventaire.

- un carnet de note noir
- un crayon à papier
- une pièce de 10 cents
- Trois monocles et leurs chaines.
- une petite clé

Il prend la clé et ouvre la boîte.

Une douce senteur d'herbes et de fleurs séchés lui arrache une larme qui perle dans le verre d'HENNIEZ brunâtre qui est sur le bureau.

Il sort une plume de rapace. Sa rencontre avec le premier indien hostile à l'homme blanc qu'il a rencontré lors des guerre de pacification. Le premier homme qu'il a tué. Le jour ou les indiens n'ont plus été ces êtres légendaires qu'il ne pouvait pas trouver dans la forêt de Deepwood mais de potentiels ennemis qu'il faut tuer. Il la pose sur la table.

Il prend une feuille de Papier pliée pour en former une enveloppe. il l'ouvre dedans trois fleurs séchées. les vestiges conservés d'un bouquet de fleurs. Il se souvient de cette après midi ou il s'était pris de gueule avec ces amis au sujet de sa recherche des indiens de Deepwood. Il se souvient d'avoir penser qu'ils étaient bêtes de plus penser à servir Opale que de chercher les indiens. les personnes qui connaissent plus sur Billyboy et la colline du pendu que les gens de la colonie. il s'était faché et avait décidé de partir pour une chasse. Il se croyait prêt pour réussir ou mourir. Erik était passé voir sa mère. Il avait discuté un peu avec. Il avait promis qu'il ferait attention. En sortant il avait pris des fleurs dans la jardinière de sa maman. Elle lui avait fait la réflexion qu'elle ne faisait pas pousser des fleurs pour les petite copines de son fils. Erik avait répondu que le pluriel n'est pas nécessaire. Sa Mère avait souri alors qu'il partait. Comme une tradition, elle lui avait rappelé que l'inventaire des carnets été faux à l'école. Cela faisant 12 ans que c'était le cas. Il avait répondu qu'il corrigerait le stock un de ces jours. Cela faisant 12 ans qu'il le disait. C'était leurs façons de ce dire entre une mère et son fils: Je t'aime. Il était passé voir Elisabeth, la fille d'un agriculteur qui s'était installé à Deepwood il y a quelques années. il tapa à la porte mais quand il vit Elisabeth accompagné de son père, il cacha les trois fleurs derrière son dos. Malaise de la situation, il bredouilla qu'il partait quelques jours et il venait demander s'il voulait qu'il leurs ramène quelques proies. Le père d'Elisabeth sourit répondant que ce sera gentil de sa part. Il ne croyait pas du tout que c'était la raison de la venue du Fils Paerson. Mais il fit comme. Il promit au père de revenir rapidement avec les prises, mais son regard était posé sur la fille et il se disait, si je reviens de ma traque, je te demande en mariage. Puis il partit. Le même soir, alors qu'il bivouaquait en foret il vient ses amis arrivé vers lui lui parlé de ce qui s'était passé avec Opale. Polder était venu les rejoindre et l'avait pousser à accompagner ses amis. Il n'avait pas tenu ses promesses. Il avait fait sécher les fleurs dans le carnet noir qu'il avait pris à sa mère. Et il n'avait pas pu les jeter. Tel une relique d'une promesse de vie qu'il n'aurait jamais.

Dedans la boite il y avait un ruban bleu, il appartenait à la première fille qu'il avait amener à la grande pierre plate au bord de la rivière. Elle l'avait oublier en partant tout les deux trop élus d'avoir cueilli la petite fleur de l'autre pour la première fois.
William l'avait trouver et avait dit qu'un intrus était venue. Erik avait dit qu'il allait pister la trace et il avait pris le ruban à William. Il n'avait pas osé rendre le ruban à la fille car ses parents lui avait interdit de revoir leur fille. le Père était de plus connu pour être une gâchette un peu trop facile.

Il sortit trois billes d'agate, trésor de sa prime enfance.

Le dernier objet avant la housse de cuir était une longue cordelette de cuir. Dessus était attaché plain de petits objets: Boutons d'uniforme, morceau de sangle de cuir, douilles de cartouche, morceau de lame de couteau brisée, une bague en fer, un shrapnel de métal, un bout de bois de fort Sumter. a plusieurs endroits il y avait des étiquettes avec marqué des nom de lieux. Little horn, black hills, mountain river, fort Sumter, et la dernière étiquette Gettysburg. il passa les objets entre ses doigts. les premiers été liées avec des amis,
Un bouton de manchette; Frank l’idéaliste universitaire de Philadelphie: mort en voulant parlementer avec des indiens.
un douille de 22; Arthur le bourrin qui le couvrit de son corps lors d'une embuscade. quatre assaillants étaient morts pour le venger. Les munitions qui avait fait cela venait de Arthur.
...
plus loin, les objets sont lié à des personnes
l'anneau de ce grand type qui c'est fait transpercer le torse par un boulet suddiste.
un bout du couteau de cet italien nerveux qui est mort en tombant dans les escaliers sur sa propre lame.
...
ces doigts passe sur l'étiquette marqué fort Sumter.
...
plus loin, les objets été lié à des vagues souvenirs.
Ce mec d'à peine 16 ans qui le regardait.
l'anneau de fiançailles de ce beau parleur qu'il allait devenir président et arrêté la guerre.
...
Ces doigts passe sur l'étiquette marqué Gettysburg.
...
De temps en temps un objets appartenait à un ami.
l'hématite d'Oscar, le compagnon de fort Sumter.
le mèche d'Alvin, le cuistot qui chuta de sa carriole et se fit rouler dessus par un canon.
...
certains étaient mêmes à des ennemis.
Le petit crucifix de ce jeune suddiste qui avait menacer Arny.

il l'étend à bout de bras devant lui pour voir l'ensemble de la chaîne. Il la regarde dans son ensemble. Victime de la guerre, victime de ce qui a commencél à Gettysburg. Il pose la chainette sur la table.

Puis il sorti un livre à la couverture de cuir noir emballé dans un linge de la cantine du régiment, un encrier et une plume.

Le livre était vierge. Il avait demandé à William de l'acheter pour lui à Jenny. Sur la première page, il écrit de son écriture qui le ferait plus passé pour un lettré que pour un homme qui m'aime la forêt et la chasse. C'est le héritage de sa mère et des trop longues heures ou il devait faire des lignes plutôt que d'aller jouer dehors et courir les bois avec ses amis.

Journal d'Erik Paerson
selon les notes du carnet noir.


La porte du baraquement s'ouvre et Saul entre dans la pièce. Excité par son prototype de lame volante. Parlant tout seul. Erik rangea tout rapidement. Saul lui demanda ce qu'il faisait, il répondit qu'îl mettait les notes de sa rencontre avec les indiens au propre. Il hésita de dire à Soul qu'il avait un petit coup de blues, Que traverser Jenny lui avait trop rappeler Deppwood. Que sa terre natale lui manqua. Il se ravissa car Deppwood était encore plus douloureux pour Saul que Pour Erik. Gabrielle... à la place il répondit:
"je me remet mal des herbes indiennes, mais un bon verre de l'alcoool de guerre de William me ferait du bien, tu viens en boire avec moi ? "
"Tout le monde tient le beau pour le beau,
c'est en cela que réside sa laideur.
Tout le monde tient le bien pour le bien,
c'est en cela que réside son mal."

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Chimel
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Re: Reécriture des notes du carnet noir d'Erik

Message par Chimel »

Très très joli Romain, j'aime bien cette face cachée du personnage qui commence à afleurer... Superbe idée la lanière avec les colifichets qui sert de mémoire. Manquerait plus que tu devienne un Déterré avec le pouvoir de Reliques hein? :mrgreen:
En essayant continuellement on finit par réussir. Donc, plus ça rate, plus on a de chance que ça marche
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Darano
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Re: Reécriture des notes du carnet noir d'Erik

Message par Darano »

Introduction:

Saul est enfin sortir de la cabane, j'ai du lui justifier un gros mal de tête pour qu'il me laisse.

Premier Partie

Date: 1846

Hier, j'ai volé un carnet dans le sac de ma maman. Car il faut comme ma maman dit: Il faut gradé une trace, il faut garder des écrit.
Johnny a disparu.
la nuit d'avant, nous avons tous rêvé de Billy Boy. Je n'ose mettre sur le papier une description du cauchemar.
Mes trois Amis, Saul, Garth et William sont alléés sur la colline du pendu.
le lendemain, ils étaient totalement pâles. il ont du voir quelque chose d'horrible.
la nuit suivante, J'ai aussi vu Billy boy; un grand visage blancs et sans nez. De grandes jambes tournées dans le mauvais sens. une immense bouches remplis de dents carrées.

Nous en avons parlé entre nous cinq.

Nous sommes la Confrérie de Billy Boy.

Commentaires:

Voici la première rencontre avec Billy Boy qu'à fait trois de mes amis. Dés ce jour, plus rien n'a été comme avant. Nous étions toujours entre nous cinq. on est vite devenu bizarres pour les autres enfants et les gens de Deepwood. Voici donc la deux premières choses que Billy Boy nous a pris. Notre normalité et un de nos petit camarade de jeu.
Comme on se croyait fort à l'époque. on pensait qu'avec une corde on arriverait à le rependre à l'arbre. Comme on était naïfs. Un peu comme la plupart des adultes jusqu'au moment de Gettysburg.
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Re: Reécriture des notes du carnet noir d'Erik

Message par Aikau le bo »

Chimel a écrit :Très très joli Romain, j'aime bien cette face cachée du personnage qui commence à affleurer...
Tout pareil! :D
Pour n’offenser personne il ne faut avoir que les idées de tout le monde
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Ecriture des notes du carnet noir d'Erik

Message par Darano »

Quelques heures après l'attaque de North End par quatre EO01 et une discussion avec le général:

Erik ouvre sa boite qui est dans son sac, il regarde que les autres sont endormis.Malgré la fatigue il sort la longue corde de cuir. Il coud une nouvelle étiquette: "North End". cela fait il sort de ces poches ce que de nombreuses autres personnes nomment breloques... Surement les mêmes personnes qui nomment les propriétaires de ces objets "des ombres".

Il se pose sur la chaise. la lampe à pétrole qui est sur le bureau et réglée pour qu'elle fasse le minimum de lumière.

il commence à coudre les différences objets à la longue suite.
- la sangle du livre de Jeremy; mort d'un coup de griffes d'une des créatures.
- la pochette d'hameçon de Franky; tué en chutant du haut de la vigie.
- le bracelet de corde de Maïs de Oliver; tué par une balle pas si perdue que cela.

et a chaque objet, Erik réfléchit à qui était cette personne. Souvent il se dégoutte de ne pas avoir plus de souvenir de la personne.

- le bout du foulard de Jim taché de son sang: dévoré par une créature.
- ...
- le bouchon de la flasque de Théodore; abattu par une rafale de gatling tiré par Erik...

Soudain les bras d'Erik retombent le long de son corps et il laisse sa tête tomber sur la table. son regard se perd dans les reflets ambrée de son verre d'HENNIEZ et de la flamme de la lampe à pétrole. des larmes silencieuses roulent sur la table et il retient tous les sanglots dans sa gorge en pensant aux morts. Passée quelques instants il se ressaisit et perd ses noires pensée en regardant les petits objets sur la table avec un angle de vue particulière. La bague semble immense et la plume semble formé une foret, qui appuyé contre un bout de tissu, serait contre une montagne. cela le fait sourire et il se laisse allé à la rêverie. il imagine les possesseurs des objets vivant dans son paysage de lilipuciens...

Quelques instants plus tard, il se redresse, le regard aux traits fatigués mais décidés. Il saisit le livre noir dans la boite et l'ouvre puis de son écriture si décriée par sa prof de mère. il commence à écrire.

Commençons par reconnaitre que ces derniers temps, je n'ai pas trop le temps d'écrire dedans. mais rencontre avec les indiens de North end a été la réalisation de mon rêve d'enfant. j'ai même réussi à me faire accepter parmi eux. je reste un étranger mais je préfère leurs vision de la vie:

La foret, le respect de la nature, chassé uniquement ce que l'on a besoin.

J'écris ces quelques lignes pour tenter de me raccrocher à la réalité. Nous venons encore une fois de combattre "ce qui n'est pas possible". J'aurais une tendance à dire à mes camarades que j'avais dit que je n'étais pas confiant dans les survivants de North end. Mais en même temps, j'ai pris le parti de ne pas chercher à montrer que j'avais raison. et je suis aussi coupable que les autres sur le fait de ce qui est arriver la nuit dernière.

je viens d'avoir une discussion intéressant avec le général qui m'a permis de voir l'homme qu'il est sous ces beaux discussions.

je regrette de voir mes compagnons perdus dans la situation sans se rappeler que la promesse de la colline du pendus.

mais soyons positif, la situation et le pourquoi on est la et la première étape vers le retour au pays.

Billy boy, tu es venu ici pour nous chercher. Eh ben ici, moi, je vais apprendre à comment te battre.

Voyons le bon côté des choses. les autres vont apprendre ce qui faut pour combattre les créatures de la nuit.

je n'ai qu'à les protéger et les pousser plus tard à rentrer au pays.

je peux même proposer au général cela. un retour au pays pour combattre une menace de plus: Billy Boy et la sorcière Opale.

la chasse commence.
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Re: Reécriture des notes du carnet noir d'Erik

Message par Darano »

le lendemain d'un citing avec les indiens dans les forêt autour de Deepwood.

Les indiens sont partis, les camarades d'Erik aussi.

Encore une fois, il est seul, encore une fois il est le seul qui n'a pas dit oui. "Etranger en tout lieu" sera le terme qui irait le mieux pour ce qu'il ressent. et le lieu n'aide pas à l'impression de mal-aise et de mal-être.

Il y a 20 ans

il avait refuser les propositions d'Opale.
Ils étaient 4 a avoir craqué a ces avances.
Il y avait William.

Aujourd'hui,
Il a refusé le pacte avec le saskatch.
Ils sont 4 a avoir fumé le calumet.
Il y a Podler.

Malgré les vingt ans qui sont passés et lui semble que c'est le même endroit ou Podler lui a demandé d'aller avec ces camarades. Il tout aussi paumé comme si le temps ne lui avait rien appris, il est plus dangereux qu'avant mais il est toujours aussi paumé.

A l'époque, il respectait Podler comme un père.
Aujourd'hui, il le voit comme un homme qui est juste inquiet pour sa vie.

Podler ne se rappelle plus que c'est lui qui les a tous pousser sur le chemin de la guerre ?

Mais Erik s'en veut, il ne peut rien reprocher à Podler car il n'a pas tenu la promesses. Il n'a pas pu tenir sa promesse. William n'est pas revenu a Deepwood.

Eric arrête de préparer ses flèches incendiaires. Il sait bien que son plan est un suicide. Au mieux il mettra le feu à- quoi dix maisons. Cela fera quelques victimes qui seront vite enterrées... vite oubliées...

Eric se couche sur le sol froid.
Comment peut-il condamner tout le monde pour les fautes de quelqu'un.
Comment peut-il condamner tout le monde pour l'avarice de quelqu’un.

Les larmes coulent sur les joues d'Erik.

Comment Arnie ne les empêchent pas de faire un génocide ou d'au moins offrir une chance au gens de partir?
Comment Saul peut-il vouloir l'immortalité dans un monde pareil et être plus proche des morts que des vivants.
Comment Garth peut-il être aussi détaché envers les gens.

et moi: Comment puis-je être aussi couard que de mettre la fautes sur les autres.

Erik regarde le pied arbre, il lui semble avoir jouer autour de cet arbre avec ghost. Il se sent encore plus paumé.

Podler, tu m'as demandé de protégé mes amis. J'ai échoué et au moment ou je reviens sur les terres de mon enfance, je suis prêt a libérer des monstres. Et ces montres; ce sont nous qui sommes fascinées par le sang l'argent, l'acier et le froid.

Et le pire c'est moi...

Erik s'assoit et se met à écouter la forêt

Aux esprits de la forêt, aidez moi,

La rancœur me consume.
La colère me rend cruel,

Dois-je devenir un fléau pour ma ville natale ou mes rêves sont venus et m'ont façonnées ou un esprit vengeur qui brûlera tout et périra dans les flammes de sa propre haine?

Esprits de la forêt, aidez-moi.
"Tout le monde tient le beau pour le beau,
c'est en cela que réside sa laideur.
Tout le monde tient le bien pour le bien,
c'est en cela que réside son mal."

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