Chimel Ciné Corner

[Aikau le bo]

Dawn of the deads

Tout à fait, Chimel ! Voilà un excellent film de zombis. Pas d'explication à part la célèbre réplique de Romero (réalisateur culte des premiers films de zombis) "Lorsqu'il n'y a plus de place en enfer, les morts se lèvent de leurs tombes". Pour un premier film, je dis chapeau bas! La réalisation est certes conventionnelle, et certainement pas du niveau de Danny Boyle et de son 28 Days Later, elle n'en reste pas moins efficace. Ce film-hommage, reprends tous les cliché de ce cinéma de genre, s'en amuse sans pour autant terminer sa course dans le simple gore, dégoutant mais peu intéressant pour le grand public. Des tronçoneuses, des flingues, de l'humour, un peu de sexe, de l'essence, deux black, une pouffe, un salaud, deux héros, une dizaine de millier de zombis et même un chien sont au programme...En bonus, le meilleur générique de fin que j'ai jamais vu!!

[Chimel]

En avant première ce week-end à l'Open Air: L'Americain.

Comédie réalisée par Mr. Timsit qui ne rate pas trops son objectif: Mettre en lumière certaines différences entre le peuple Gaulois et celui de Clint Estwood... C'est donc les mésaventures d'un jeune looser qui n'a qu'une envie: Etre naturalisé amrericain. Il ce fait aider, par un avocat très intéressé (Thierry Lermite) et de ses deux copains aussi débile que lui.
Le film est en parfait décallage avec l'actualité et le sentiment anti-amrericain gallopant en europe. Surtout lorsque l'on voit un lotisment de banlieue Parisienne s'identifier à l'esprit Ricain: Consomation, autonomie, sécurité... Enfin, malgré un humour franchouille un peut lourdingue (Y'a pas à chier, depuis les Bronzés, y'a que Chabat qui assure), on peut dire que la critique touche juste et que le rêve americain et passé à la moulinette d'un Patrick Tismit tout à fait crédible.
Un bon film du Samedi soir avec le cerveau en veilleuse.

[Chimel]

Farnheit 9.11
Comment en parler? Dire que c'est la palme d'or de cette année? Que c'est le premier au Box-Office américain? Préciser l'incroyable attaque faite au gouvernement actuel, en pleine campagne éléctorale?
Je crois qu'il ne faut pas trops s'étendre sur le sujet: Le voir est presque un devoir citoyen...
Petit détail: Mr. Moore a perdu son sens de l'humour pour ce documentaire. Il est révolté et dégoûté. Ceci à juste titre...

[Chimel]

Spider Man 2
Rhaaaa... Le retour d'un de mes super heros préféré.... Attention c'est partit pour la critique la plus objective du forum!
Une fois de plus Marvel réussit avec brillo l'adaptation d'un de ces comics. Tout y est, le conflit entre la double vie du héros, l'aspect ingrat de l'altruisme.Spider Man ce trouve confronté à un méchant complexe et touchant, mais balèze quand même. On voit l'émergence d'autres méchants pour les prochain épisodes. D'ailleurs, la thématique de de science menant à la folie est respectée. Les scènes d'action son impécablements assumées et vraiment spectacilaires. Les acteurs sont tout à fait crédibles, surtout le rôle principal qui oscille entre le looser total et le prince charmant...
Enfin, un exellent divertissment avec bastons et cascades a voir sur grand écran...

[Ezechiel]

Juste un bemol...
Sans mettre en doute le propos de M Moore, il ne faut pas se departir de son sens critique en regardant le film de Moore.
Moore a un parti pris, et n'hesite pas a prendre des raccourcis et certaines libertes avec les faits en jouant sur des astuces de montage. N'ayant pas grand chose a faire de mon temps libre ici, je regarde BBCWorld et CNN, et il y a eu plusieurs emissions sur Moore. Sans remettre en cause le fond du sujet souleve par Moore, il est generalement admis qu'il se permet une certaine "license poetique".

Il l'avait deja fait avec Bowling in Columbine, il le refait ici.
Je me rejouis de voir Farenheit, mais l'appeler documentaire est peut etre exagere. Moore est engage et cherche a faire valoir son point de vue a tout prix quitte a forcer la note, ce qui etait dommage dans Bowling, parce que superflu., le propose en soit etait deja assez fort sans tricher avec la verite.

[Aikau le bo]

Fahrenheit 9/11

Attention, chef-d’œuvre !!Inutile de parler du sujet (Bush et la guerre en Irak), tout le monde le connaît. Le point fort de ce film réside sans aucun doute dans la réalisation. Que de chemin parcouru par Michael Moore depuis son premier film « Roger and me » où il découvre à la moitié du tournage à quoi sert un trépied… Dans Fahrenheit, tout respire le professionnalisme et le talent. La bande-son tout d’abord, inventive, subtile et surtout servant la narration (chose rare dans le cinéma américain actuel, vous en conviendrez). Le montage ensuite, dynamique, original, alternant avec une grande habilité les scènes rythmées et les scènes plus calmes. Mais c’est surtout la réalisation de façon générale qui est sublime. La première partie est « relativement » légère. Les plans au ralenti sur Double War Bush sont hilarants, tout comme ses sorties mémorables. Bien que l’on en ai déjà parlé dans la presse, je tiens à revenir sur la fameuse scène de l’attaque du World Trade, où un écran noir remplace le crash et où seul la bande son passe…On a beau connaître par cœur ce drame, le fait de juste de laisser le son sans l’image rajoute en intensité tout en restant très sobre…Belle trouvaille, belle et touchante idée. Après une démonstration brillante (mais déjà connue pour la plupart d’entre nous) des liens entre les Saoudiens et les Bush, on passe à la guerre en Irak. Plutôt que de faire une analyse géo-politique de la situation, Michael Moore s’attache à montrer ce qu’on oublie dans une guerre : c’est qu’elle fait des morts des deux côtés, que les GI’s ne sont pour la plupart que des gains inconscients, que la guerre ne se justifie jamais vraiment. On monte crescendo jusqu’au dernières scènes où l’on voit une mère américaine pleurer son fils pendant plusieurs minutes. Poignant, déchirant, bouleversant, vrai.
Un vrai bien moins drôle que le précédent, mais bien plus indispensable

Aikau le bô

[Chouby]

Super size me


Drole, interessant, wablatisant et effrayant serais les 4 adjectifs que j'utiliserais pour décrire se film.

Drole: Plein de petite pique sont placée dans le film et c'est des plus appréciable comme quoi on peut rire des sujets le splus grave (quand on sias que l'obésité est la 2 eme cause de mortalité aux USA)
Interessant: Plein de chiffre et de témoignage, on sors de la en comprennant bcp mieu certaine chose sur les gens et se qu'il bouffe lol. Je l'ai trouver complet mais pas lourd et simple à suivre (si meme moij'ai reussi a comprendre...lol)
Wablatisant: Il y'a quand meme quelques image ou chiffre qui te donne envie de faire un petit détoure par les WC, guérir le mal par le mal huhu.
effrayant: Un des repportage dnas la cantine d'une école est effrayant et les chiffres surtout! c'est assé affolant jdois dire.

En gros bon filme documentaire qui sais lier l'humour et l'information. Je vous le deconseille avant une overdose de mc do lol

[Chimel]

I, Robot
L'affiche à pourtant tout pour rebuter, lorsque l'on voit notre multiple sauveur de l'amérique aux oreilles décolées le regard batailleur, perdut dans le lointain... Et pourtant, des les 5 première minutes, l'image surprend, nous voici projeté en 2035 dans un futur Asimovien en train de suivre l'enquête du détective Spoon (Will Smith) sur un bien étrange suicide. L'affaire va aller en ce compliquant pour terminer sur une révélation à la Terminator, si vous me passez l'analogie...
Toujours est il que les effet de mouvement lors des scènes d'action son pour une fois un peut différent du Matrix style, donc à couper le soufle. Will Smith incarne un flic vraiment torturé dont le nombreux secrets emaillent avec intélligence l'intrigue principale. Le second rôle, féminin, un est réussit lui aussi. On nous présente une femme de tête, capable et débrouillade et pourtant (ho! Miracle) pas totalement frigide.
Pour les reste, nos amis le robots sont plus vrait que nature (bravo les fx!!), le scénario tient très bien debout, l'intérogation éthique de Maître Isaac Asimov est respectée. En bref, mission acomplie pour ce divertissement de qualité. Et pour finir: Rien de vriament nouveau sous le soleil, vivement les Chronique de Ridik...

[Chimel]

Voici que déboule l'OVNI de l'année!! Et ce n'est pas peut dire! Les frère Charbo(?) Signe là un film d'une improbabillité digne des plus grande disgréssion fumeuse de Mr. Lynch en personne! Et ce n'est pas peut dire. La caméra bouje énormément, presque toujours sur l'épaule, et ce couvre régulièrment de sang, de terre et de trucs visquweux, les prise de vue et extérieurs sont presque toujours savament surexposée lorsqu'il s'agit d'action, et très léchée lors des scène plus classique. Les lumière en intérieur sont très travaillée, et bourée d'idée étonnante comme éclairer un concert à la lampe torche...
Pour l'intrigue, facile, de toute façon c'est un pretexte: Après avoir été injustement emprisonné, James Bataille s'échappe du pénitencié. Et sa tombe bien, car la belle (Vanessa Paradis) qu'il veut retrouver est en grand danger. Un impréssario lubrique du nom de Mr. Chiasse (Benoît Poulvorde) ainsi qu'une meute de Miggot Mutan veulent voir de plus prêt sa jolie jupe qui repose sur ses encore plus jolie jambes...
Vala, le tout ce déroule dans un bled de bouseux infâmes et riches en personage tous plus décallé les uns que les autres. L'ambiance générale et de type western mais avec plein de tentacule ridicule, de personnage débile et une bande son d'une qualité rarissime...
Pour ce changer des bloc booster léché et asséptiser, pour ce marrer un bon, parce qu'on ai amateur du mythe de Cthulhu, parce que le scinéma ninja c'est bjien... FAUT ALLER VOIR CE TRUC. Le rater, c'est pas pouvoir en paler.
Chimel, à 200% objectif...

[Chimel]

Rhaaaa... Un de mes personnages préféré de mon adolescence... Mais en faire un film... Dérappage en perspective. Et pourtant:
En me préparant psycologiquement à un navet très descevant, j'ai été pour le moin surpris de la qualité de l'adaptation et des moyen mis dans les Fx. Notre chat obèse et torve est tout à fait crédible à l'écran. Son caractère calculateur, méchant, obscène et égoscentrique garde tout son impact... D'ailleur si vous êtes accompagné par des enfants, allez voir la VO (aux Galeries) au moins ils ne comprendront pas ce que dit le Noli chat orange...
A par le plaisir de voir une bonne adaptation de mon félin-sadique préféré et de son soufre-douleur détesté (Odie), le reste est plutôt fade.
On a relooké Jon pour un fair un trentenaire mignon et sympat, sa copine est une bombe type canon H&M... Le scénario à l'air tiré d'un tiroir de Wall Disney periode: Et si on faisait les 101 Dalmacien 11e épisode?
Une caméra pour le moins classique, peut de recherche pour les autres personnages.
Bon, je l'admet, à moins d'être comme moi quelqu'un qui a un Garfield qui someil, faut éviter ce film. Mais pour ce détendre après le boulot, e concernant, je connais pas mieux. C'est fou ce que poeut ressortir de bone humeur quand on a vu Odie ce fair balancer plus de trois fois de suite d'un canapé!

[Aikau le bo]

I, robot

Malgré des failles dans le scénario ,quelques moments de larmes face la crédulité des personnages et face à la facon toute prévisible d'amener les éléments du film, cela reste la meilleure adaptation d Asimov à ce jour. Le scénario aurait mérité d'être plus poussé, l'intrigue de base étant à la limite de la logique et la fin un peu poussive, mais malgré tout cela reste un bon divertissement. A noté l'interprétation de W Smith, qui n'est même pas uniquement un Bad Boy dans le film, mais également un Rude Boy.

Aikau le bô robot

[Chimel]

Ben voici un film qu'il va fair date! Des les cinq première minutes ont nous met clairement en garde: Grâce a plein de découverte archéologiques, voici enfin un film hisotrique de Arthure! Waw! En voilà une approche intéressante. Mais le petit problème, c'est que quand on vent de l'historique, on l'assume. Lorsque l'on ai en 400: On ne peint pas les Pictes en bleu en les faisant passer pour des pseudo-elfes New Age. On n'équipe pas le premier trouffion de cote de maille de fer. On ne refile pas à tout les héros des lames en acier... On ne balance pas des boule de feu avec des trébuchets manier à la mains...
Si ce film avait été présenter comme une nouvelle adaptation du mythe, pas de blème, le film aurait même put être un divertissement du samedi soir à condition d'avoir rien à fair. Mais en voulant rendre un récit mervielleux rigoureurx, il ne reste de ce film que quelque belles scène de combat et une galerie de personnage made-in donjon. Point positif, l'on peut voir des chevalier et un Arthur vraiement inédit. Pour le scénar? Nos brave chevalier, après avoir servit quinze ans en Bretonnie (angleterre) vont enfin ce fair libérer du service de l'empire. Mais Arthurius, capitaine de la garnison qui occupe le mur séparant l'EMpire des Barabare, doit accepter une dernière mission. Sauver une famille d'une invasion d'affreux Saxxon qui ont dut ce perdre dans la mer du nord...
A éviter, ou alors à regarder avec beucoup de recule...

[Chimel]

Amateur de Jules Verne et d'exactitude, toi qui adore l'âge de l'acier et la révolution industrielle, ce film est à éviter. En effet, coté adaptation on ne s'embarrasse ni de vraisemblance ni de réalisme, mais bon, manifestement l'idée est plutôt de fair rire qu'autre chose... Et là, il faut le reconaître, c'est réussit. Vous croyez que je verse dans le mauvais goût absolut en étant devenu fan des Jacky-Sheneries? Rassurez vous! Ce n'est vraiment pas le seul ressort comique, loin de là: On a en vrac, le patron de Virgin, Shwarzie, Thoulouse Lautrec, Sammo (sisi!!!) et bien d'autres ninja venu donner des réplique impropables à nos héros. Ceux-ci sont d'ailleurs bien relooké. Un Mr. Fooge transformé en inventeur dont la science et les expériences n'ont rien à envier au Mad Scientist moyen... Et un Passepartout ninja et voleurs de relique pour l'occasion avec bonus boufonarie toutes les trente secondes. Pour le reste, le scénario est en gros gardé (mais en s'en fout), pas trops d'anachronisme (mais en s'en fout), et une caméra pas moche du tout avec de chouettes de transitions pour passer d'un "chapitre" à l'autre... Le tout est bien rythmé, difficile de s'ennuyer avec ce déferlement de gag et de situation burlesques...
En résumé: Un bon divertissement qui fait rigoler la bouche et rire les dents

[Die's Man]

Un film que quand tu vas le voir à défaut de faire une partie de jeu de rôle, ben t'es pas décu. On a affaire à un univers fantasy futuriste ma foi sympathique, avec des nolis nécromongers (tout est dans le nom) bien pas gentils qui cassent les planètes (et ils le font bien) dont les habitants refusent de se faire laver le cerveau.

Jusque là, vous me direz que bon, c'est sympa, mais qu'on en a vu d'autres. Je dis "Oui" mais rarement avec Vin Diesel, l'équivalent du salpètre qui manquait jusque là à notre poudre de charbon et notre souffre. Parce que s'il y a bien qqch qu'il faut lui reconnaitre, c'est que pour les rôles de gros bras, il s'y entend le garçon.

Premièrement, les gros bras il les a, consciencieusement arrimés à ses épaules...

Et deuxièmement, il a un don naturel (la carrure étant néanmoins un élément clé), à ma connaissance égalé seulement par quelques autres (Willis et Stallone, par exemple) pour sortir les rengaines de ce type de personnage, du genre, juste avant de démonter un bataillon de soldats presque à mains nues, de dire :

- Je crois qu'on va pouvoir jouer à ton jeu favori....
- Lequel ? "A qui bute le mieux" ?
- Ouais, celui là !


Et ca, messieurs, dames, dans ce genre de films, c'est important.

En résumé, on se retrouve avec ce film en face d'un croisement tout à fait efficace entre un "Immortel" (esthétiquement, surtout) et un "xXx". Quand on cherche un truc pas trop prise de tête et un minimum défoulatoire, on est comblé (Surtout avec "Hellboy" en bande annonce pour la mise en bouche).

Dernier petit détail: Je n'ai pas encore "Pitch Black" à mon actif cinématographique (je travaille à y remédier), dont on m'a néanmoins dévoilé quelques éléments de scénario. Il n'est donc pas impossible que, comparativement, le film soit décevant (voir la critique de Lord Maximum).

Pour ma part, et comme le laisse probablement transparaitre mon commentaire, je suis ressorti de la salle tout à fait rassasié.

[Mad Max]

Je peux te passer les DVD de Pitch black mon petit Die's man. C'est du pur rock'n roll, bref j'adore. les Chroniques ne sont pas décevantes à coté de ce premier opus c'est juste qu'elle sont très différentes comme style. Mais j'était assez ravi lors de la projection des chroniques de riddick.

second news. Si Riddick Chronicles marche bien au boxe office (ah pognon quand tu nous tiens) le réalisateur nous prommet un troisième volet pour fin 2005 début 2006.