Chimel Ciné Corner

[Mad Max]

Courrez le voir c'est juste un pur bijou!!!!!!!!!!!
Adaptation du comic book par excellence ce film est un extraordinairement bon divertissement qui ne se prend jamais la tête et qui se permet même une série de clins d'oeil à Lovecraft (certains apprécierons) pour ceux qui préfèrent les nazis y'en a aussi tout plein dans le film...
bonne scéance

[Doud]

On est prévenu dès le générique: ce film est basé sur une histoire vraie, ce qui devrait rendre ces 80 minutes encore plus terrifiantes. Un huis clos en pleine mer, sobre et hyper réaliste, et surtout terriblement efficace... Le film est lancé et là contre toute attente, on se retrouve avec un film d'une qualité médiocre au niveau de l'image (à la Blair Witch mais en flou et inintéressant), du son (surcoupé, à croire qu'il y a un mec avec un cassettophone qui dès qu'il voit un requin appuie sur play et approche le micro), des clichés (avant de partir en mer le mec a envie de faire l'amour mais ça femme est fatiguée.... RRRrrrr quel dommage!! - entre nous soit dit c'est le seul chef d'oeuvre du film, sous-entendu le corps NU de cette fille), du suspens.... oui vous avez bien entendu, à part quand tu es en train de t'endormir et que la fille lâche ses plombs au fond de la mer et que l'un touche l'autre. Tu bondis mais c'est tout, des dialogues (en effet avec des "qqch m'a touché" et "j'ai besoin de faire pipi" 2X, les dialogues sont d'un malheur flagrant, voire consternants).

Bref une merveille pour qui à déjà - avant de rentrer dans la salle - plus de 210 de pression et qui peut faire des attaques. Mais pour les autres vous risquer de vous endormir facilement voire remettre en question votre carrière pour partir faire du cinéma...

J'allais oublier de plus pour l'histoire vraie, le seul truc vrai c'est que les deux lascards étaient perdus au milieu de l'océan. Le reste est fictif.

Note subjective : 1/10

[Chimel]

Ce film pose clairement le thème dés les trois premières seconde. En effet, on entend une femme prendre son pied. Puis, vient l'image, toujours aussi équivoque. Car ce film, au travers de son héroïne, va parler de sexe. Jusque là rien de vraiment transcendant. Ce qui fait la différence c'est que l'on parle sans tabou de masturbation féminine, de clitoris, de frigidité, de simulation... EN bref, des sujet plutôt rarement abordé comme ressort principal dans un film. Surtout coté féminin. Le ton y est bien trouvé, on ne tombe pas dans la vulgarité ou le super moraliste comme on aurait pu le craindre.
La galerie de personnage est bonne. Surtout la famille de l'héroïne, qui donne une bonne crédibillité à la psycologie de son parsonnage. Elle, est juste imsuportable de caractère.
Franche, incapable de la moindre finesse humaine, cette boule de nerfs va remuer ciel est terre à la recherche de son clitoris, perdut subitement.
Pour résumé, un film surprement à voir avec des membres des deux sexes pour en causer après. A aller voir, c'est édifiant.

[Chimel]

Il sort demain!!! Noël Noël!! Vive les machins rouges qui grogne!!

[Chimel]

Bon. Tout d'abord un peut d'histoire... M. Night Shyamalan a réalisé: Le sixième sens, Incassable et Signs. Le dénominateur commun à ces trois petits bijoux, de mon point de vue, et la lenteur. L'absence d'action. On ce trouve projeter dans un monde ou le fait que le personnage réagisse à une situation plutôt que la subir en fait une véritable cascade! Autre chose en commun: L'esthétisme. Il faut bien reconnaitre que Mr. Shyamalan est un véritable orfèvre de l'image. Les lumières sont tout simplement parfaites, les décors super-réaliste/fouillés, et le tout dans une unité grafique vaiment assumée.
Maintenant, The Village. Ben... Comme les trois autres quoi! Une situation totalement réaliste sans l'être, une galerie de personnage tout à fait intéressante, plein de belle images... Mais... C'est quand qu'il ce passe quelque chose? On dirait que ce brave réalisateur attend un événement clé de ses personnage pour que l'intrigue avance. Comme les jeux pc, temps qu'on n'a pas fait tel truc, rien ne ce passe. Je peux vous dire que c'est rageant lorsque l'on joue. Mais dans une salle de cinéme, c'est juste soporifique. On va devoir attendre la reprise du film, après avoir hésiter à partir en profitant de l'entracte, pour que les choses commences enfin à avancer. Pourtant, Mr. Night ne rate pas sa petite pirouette ou la vérité est enfin revélée, et ça, c'est chouette.
Pour résumer, je crois qu'il faut considérer ce film comme ojet esthétique. Ne pas aller voir une histoire mais plutôt une installation mobile ou des personnages vivent des choses fortes avec beucoup de belles choses autour d'eux et un vagues pretexte à cela...
A regarder dans son salon avec du café. A regarder au cinéma avec du café et livre sur l'histoire de l'art. A regarder avec sa copine avec un paquet de préservatif....

[Mad Max]

c'est today qu'y sort, c'est noel (comme dit Chimel); enfin cette fois espérons que ce sera vraiment noel.

PS: Il parai qu'il vaut largement mieux avoir vu le n°1 (the Bourne identity) pour aller visionner celui la. Enfin du tout grand art en matière d'espionnage.

[Chimel]

François Ozzon reviens avec sous le bras un de ses films qui ont, d'habitude le don de vous foutre le cul entre deux chaise et vous intérroger sur ce qui someil en vous...
Hé bien 5x2 ne déroge pas à la règle. Nous assistons à cinq instants de la vie d'un couple dit "moderne". Je ne veux pas parler du scénario, qui perdrait pas mal de son impact dans sa simplicité et son réalisme. Par contre je peux me répandre en bravo pour la qualité de l'image. Tout est très léché, les lumières, l'espace, la déco sont vraiment bien travailées. Le tout donne une impréssions de super-réalisme, presque trops réel. Mais le contrepoint c'est les situations. Elles touchent vraiment, mettent en colère, dégoûttent ou font rires de dépit face au personnages... Car les deux acteurs incarne une humanité qui n'est jamais vraiment montrée à l'écran. Une alchimie humaine qui à quelque par nous renvoye à nous même, d'une manière peut élogieuse, je le crains.
Après Citcom, Huit femmes, Swimming pool, François Ozzon signe à nouveau un petit filmn sur la comédie humaine. On aime ou on aime pas. Moi j'adore...
Sur les écrans depuis hier.

[Doud]

Film d'aventure brézilien de Walter Salles tiré, cette fois-ci, d'une histoire vraie. Elle raconte l'épopée de deux jeunes argentins en 1952 autour de l'amérique du Sud. Pas moins de 12'000 km de route en moto (une vieille de 1939) de l'Argentine au Venezuela en passant par le Chili et le Pérou.

Ayant été avec Xavier sans même savoir que le film était en Espagnol, je ne me doutais pas de la grandeur de ce film. Pour moi c'était une chouette virée de plusieurs mois entre Alberto, 29 ans et Ernesto 23 ans tout deux médecin. Mais au fil du film, j'ai découvert à ma grande surprise que Ernesto s'appellait Ernesto GUEVARA de la Serna. C'est là que j'ai compris que ce film n'était pas simplement un long métrage qui nous donne envie de voyager mais également la lente et progressive création du personnage historique de "CHE GUEVARA" qui 9 ans plus tard s'engagera avec son ami Alberto Granado dans la révolution de Cuba.

Ce film est magnifique et je vous convie à aller le voir bien qu'il soit en espagnol sous-titré. Cela vaut le détour, les émotions sont au rendez-vous. Very Happy

[Chimel]

Voilà un titre qui n'augure rien de bon... Et pourtant, des les première secondes, nous voyons apparaître la tête d'Edouard Baer ainsi que sa voix en narrateur et là, le film prend son éssor... Pour ne plus redescendre. En effet, ce film qui traîte de la crise exsistancielle d'un auteur, a plus d'un atout dans son sac.
Une caméra vraiment léchée, des lumières réalistes au poil, un cadrage mervielleux... Une photo magnifique, somme toute. De plus c'est la réalisation elle même qui surprend. Pleins de scènes burlesques sont intercallées dans le récit pour l'illustrer. Le scénario est en lui même drôle, simple et touchant.
Le tout est enmené par un Mr. Bear magnifique dans son rôle de trenteniare paumé. Il est encadré par un galerie de second rôle exellent. Ceux-ci sont très caricaturaux, des femmes "modernes" qui tracent leurs vie en bousculant pas mal leurs mecs. Des machos-machos, qui sont con mais gentils quand même... Et un rôle principal qui ce démène avec ce qu'il est...
Le résultat? Un film drôle, humain qui nous met, à quelque part, un peut face à des aspects de soit pas forcément reluisant, mais au moins, avec le sourire...
Ne pas y aller est inexcusable.

[Chimel]

Hé bien! Mesdames zé Messieurs, tout est dans le titre!

Enfin un film qui cause d'espions et d'assassin bien assumé. Rien de vraiment neuf coté scénar: Il a demandé qu'on lui foute la paix, fallait pas le fair chier, il revient et il est pas content... Quelques rebondissements qui donnent de la crédibillité et un peut de profondeur au tout nous évites de tomber dans du Comando-Bond. Deplus, tout cela est bien tourné. En effet, on est embarqué par une caméra sur l'épaule qui n'arrête pas de changer d'angle, de devenir pour quelques secondes subjective, sans rien enlever à la lisibillité de l'action. Des scène de poursuite explosives et efficaces, des idées simples mais qui marchent... Vraiment du bonheur pour les mirettes. Coté personnages ont est bien servit. Les méchants-méchants ont des motifs claires et plausible et du coup, on est bien en peine de trouver des gentils-gentils... Même Mr. Damon (Jason Bourn) a un petit coté implacable qui tranche avec sa jolie gueule d'ange... Surtout pendant une scène d'intérrogatoire dans des sous sol tout à fait édifiante sur l'art de foutre les jetons à l'interlocuteur.
En bref: Fluide, dynamique, techniquement assumé (première fois que je vois un film caméra-épaules depuis le 5e rang sans avoir envie de gerber... ) et haletant.
Un très bon divertissement.

[Chimel]

Beau et Engagé sont les premier mots qui me viennent à l'esprit, ensuite vindraient Touchant et Parfait. Mais je m'emporte. Parlons en de ce film car il serait dommage que des gens rate cette appologie du voyage.
Mais c'est de l'image dont j'ai surtout envie de parler. La caméra reste souvent en plan fixe. On peut donc serénement admirer la qualité des images choisie, le jeux des perspective, la force évocatrice de l'instant. Lorsque notre réalosateur la fait bouger, c'est avec une subtrillité peut commune. Celle trésaute légérment pour donner l'illusion de l'inconfort que donne un trame... En fait l'appareil nous emène soit dans l'oeil d'un observateur assistant à des épisodes des aventures de nos deux héros soit directement de leurs tête. Ce travail très intimiste nous emporte dans cette histoire simple et pourtant déterminante dans la vie de deux êtres.
Les jeux de lumière sont harmonieux et Mr. Walter Salles y intercale avec succé quelque scène noir-blanc d'une beauté renversante.
Bon, aux acteurs maintenant. Le couple proposé par Gael Garcia Bernal (La Mal Education, Lucia il sexo) et Rodriguo de la Cerna (je sais pas ce qu'il a fait) marche à merveille. Deux personnalités différentes mais qui ce complètes avec harmonies. Au fur et à mesure du voyage l'on peut mesurer la transfomation qui s'oppère en eux, la profondeur de leur regard et le contact qu'ils ont avec les autres. Ont est tout simplement hému par leur performance et leur sincérité.
Pour terminer c'est le traîtement même du voyage qui est fort. On le présente comme une série de rencontre, d'épreuves marquantes. Mais en même temps, une dimention spirituel semble en ressortir, celle de l'initiation, de la renaissance. Mais pas au travers de délires d'illuminer, mais bien dans une réalisation qui laisse aussi la symbolique d'une terre profondément chamanique de s'exprimmer.
Voilà, avec la critique de Doud et celle-ci, il serait désespérant que des gens ne veuille pas aller voir ce petit bijoux de cinéma. Trop rare pour le rater.

[Chimel]

Si tu as aimé la bande annonce et qu'elle t'as fais rire, soit heureux! Tu viens de voir tout ce qu'il y a de drôle dans ce truc à part peut être trois autres minutes films. Donc pour celle-ci, attend qu'un de tes potes ce face offrir le film en dvd. Car huit francs de location, c'est tops cher pour cet ode aux décébré moyens...
A noter quand même la fin qui fait l'éloge du capitalisme puisque le gentil, pour gagner, fait une OPA sur la boite du méchant et comme il devient l'actionnaire majoritaire, il le licencie. Le film ce termine sur un gentil super riche qui passe à la télé alors que le méchant est devenu gros, moche et regarde ladite télé dans un canapé miteux...
Superbement nauséeux...

[Chimel]

Deux soldats, l'un russe pure souche, l'autre finnois engagé de force dans larmée Allemande, ce retrouvent dans la maison d'un Laponne. Les trois personnages ne parlent pas la langue de l'autre. Il en résulte une incompréhension avec laquelle ils devront composé en cet été de 1943...

Voilà un film qui part d'une situation pour le moyen simple. Pourtant, on reste sans voix devant le traîtement, l'authenticité des acteurs et un humour mi-figues, mi-raisins dans le plus pure style Russe.
La lumière, qu'elle soit natrurelle en extérieur ou artificielle en intérieur est magnifiquement théâtralisée. Les prise de vue, souvent fixes sont bien travaillées avec un cadrage éfficace.
Le tout est enrobé dans une poésie quotidienne magnifiée par des dialogues de sourd entre ces trois personnages qui, à quelque part ce comprennent (ou pas...) au travers des quipropos, des différents culturels.
L'on voit aussi une femme, simple, belle et volontaire qui simplement partagé un moment de sa vie avec deux hommes aux tempéramment différents et touchants.
Petit bémol, une fin un peut prévisible et facile. DOmmage, si près du sans-faute.
En bref, une histoire qui donne un bel aperçu de la comédie humaine. Avec de l'humour, du russe, du sexe, de belles images et dont en ressort avec un sourir teinté d'émotions qui fait du bien.

Du beau cinéma! Faut le voir pour le croire!

[Chimel]

Monsieur Michael Mann nous sort de la toute grande caméra pendant deux bonnes heures d'un film qui, à défaut d'avoir un scénario béton, nous entraîne dans un monde envoûtant. Celui-ci est fait de cadrages décalés, d'un jeu de flou poétiques, et de prises de vue aériennes reposantes. Le tout dans une situation mettant face à face deux protagoniste étonnant de par leur crédibillité: Max, le taximen foncièrement sympat et un tantinet looser face à Vincent, le tueur froid, éfficace et tout à fait charmant. Les deux personnagesd tiennent debout et servent bien de ressort au film. Pour ce qui est de l'intrigue, ont ne saisit pas tout, cela parle de gars à abattre, de comanditaies mystérieux mais sans rentrer dans les détails. A mon avis, c'est parce que nous sommes embarqué avec ce taxi men qui ne comprend pas vraiment ce qui lui arrive. Nous avançons donc avec lui dans l'intrigue. (Bon, il est vrai que tout les passages avec d'autres personnages auraient tendances à démonter ma suposition...)
En bref, peut de scénario, mais on s'en fout tellement c'est beau, que ça part un peut n'importe où et, putain, comme cela fait du bien de voir Tom Cruse jouer dans autre chose qu'un obscure navet... Du bonheur pour un Samedi soir ou un autre jour pluvieux.

[Chimel]

C'est un peut comme de vouloir fair un duel entre un laxatif et un supositoire... Mais à défaut d'être bien, le deuxième divertit. Pis y'a plein de zombies, de bastons et deux belles gonzesses... Dommage pour le premier, si y'avait eux des zombies et de l'action vaguement bien foutue, on aurai pas eu la migraine dix minutes après le début du film.
Mais pour les deux, inutile de les louer en dvd. Pour le premier, c'est trop de la merde. Et pour le deuxième, si t'as pas des chien-zombis de 6 mètre de haut qui aboient à 90 db, a vaut pas la peine de le voir...

Et tout prendre, je pense que l'on peut s'éviter bien des tracas et des déceptions en allant le voir le Cou de la Giraffe. C'est beau, intélligent, bien filmé avec des dialogues théâtralisé. On en ressort touché et intérrogé. Donc, peut être, le cinéma d'auteur a encor des arguments...