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Le Dit de Nekoï
Chapitre 1

Moi, Nekoï Kawabata Aiko, anciennement Akodo Kawabata Aiko, grand maître du dojo des Sept Directions déclare, sous le regard bienveillant des Fortunes, des Kamis, des Ancêtres, du daimyo du clan du Lion et de l’Empereur, la fondation du clan du Chat dans la vallée de Ho-no-Kuni et accepte d’en devenir le daimyo à compter de ce jour. Que les Fortunes, les Kamis, les Ancêtres et l’Empereur nous accompagne dans la Voie du Bushido et guident nos pas sur les Sept chemins de la Vérité.

C'est beau...

Le Dit de Nekoï
Chapitre 2

Il est dit qu’en cette année 1136, Nekoï Kawabata Aiko mit en place la politique dont l’enjeu n’était ni plus ni moins que la survie du clan nouvelle fondé.
La vallée de Ho no Kuni étant cernée par les puissants clans du Lion, du Phœnix et du Dragon, et ces clans ayant tous un intérêt à contrôler la vallée – ne serait-ce que pour éviter qu’un autre clan ne le fasse - il était évident pour le nouveau seigneur des lieux que non seulement le salut du clan du Chat passerai par un renforcement militaire axé sur des troupes d’élites – la population de la vallée n’étant de toute façon pas assez importante pour former une grande armée - mais surtout que le destin des Nekoï dépendrai d’un savant équilibre des forces entre Hono-Ku-Ni et les grands clans l’entourant.
Or, le sage daimyo se trouvant devant ces problèmes apparemment insolubles, fit ce que bien peu firent avant lui. Plutôt que d’opter pour une stratégie de repli, repoussant les attaques militaires, économiques et politiques des « 3 Frères », comme sa seigneurie les appelait, Nekoï Kawabata Aiko fît exactement le contraire et ouvrît sa maison aux puissants...
Rappelons-nous du proverbe qui dit que « L’hôte se nourrit autant de l’hospitalité qu’il donne que le convive qui la reçoit ». On rapporte que Nekoï sama ajouta en entendant ce proverbe de la bouche de son ancien élève, Nekoï Shinji : « Non, l’hôte se nourrit plus que l’invité, car non seulement il fait honneur à sa Maison et à ses Ancêtres en donnant son hospitalité, mais en plus l’invité devient ainsi son obligé ».

Merde... t'as réussi à me faire pleurer, bon... tu nous invites alors ?

J'ai mis la date et corriger le nom de la ville Ho no Kuni (la ville du feu). Nom donné à cause des grandes fonderies installée dans les alentour de la ville et au lueur rouge qui sortaient des cheminée des hauts fourneaux.

Rikkus a écrit : Merde... t'as réussi à me faire pleurer, bon... tu nous invites alors ?

Si je vous invite...? Bien sûr! Les puissants Frères (et Soeurs) sont les bienvenus chez moi! Et puis, paraît qu'il faut que je me trouve une femme du clan du Phoenix...

Darano a écrit :J'ai mis la date et corriger le nom de la ville Ho no Kuni

Merci bien! Je n'étais plus très sûr. La suite bientôt...

Le Dit de Nekoï
Chapitre 3

Grand Maître du Dojo des Sept Directions, Nekoï sama s’était de tout temps intéressé au noble art de la guerre. Son Dojo était respecté bien au-delà des frontières de Ho no Kuni, et ses compétences en tant que maître d’armes n’était plus à démontrer, et cela bien avant même la tragique période dit du « daimyo sombre ». Un évènement, cependant, changea sa vision du kenjutsu et, par la même, changea celle de nombreux samouraïs.
En ce temps-là, chaque école de chaque clan avait ses spécificités, ses techniques secrètes, ses codes et… ses limites. Les clans majeurs y voyaient-là un signe de noblesse, d’histoire, de fierté. Nekoï Aiko, lui, n’y voyais que faiblesse, aveuglement et vanité contraire au bushido. N’est-il pas écrit que « Seul l’imbécile ne suit que sa propre voie. Le véritable maître, lui, suit toutes les voies. Et plus il connaît les autres voies, plus il est en accord avec sa propre voie » ? Toujours est-il que l’événement eu lien en l’année 1136 dans le dojo du Maître alors que celui-ci n’était pas encore Seigneur des terre de Ho no Kuni. En voici le récit :