The Epic Fantasy Group - Présentation des Eclaireurs
Publié : lun. juil. 09, 2012 10:32 am
Damian de Laënn
Je suis né Damian Laënn dans une famille bourgeoise du quartier des Pièces d'Absalom. La vie d'un jeune homme aisé est particulièrement douce en cette ville, sauf lorsque la-dite richesse attire les convoitises de mes pairs. Fréquemment pris à parti par des jeunes brutes, j'ai pu développer un certain instinct de survie et la capacité d'être plus fuyant qu'une anguille, ce qui devint un de mes surnoms, aux côtés de "l'échalas", "l'asperge" et autres noms d'oiseaux encore moins flatteurs.
Particulièrement intéressé par la noblesse, mon père acheta son titre à un baronnet désargenté alors que je n'avais que dix ans, et de Damian Laënn je devins Damian De Laënn. Second de la "lignée", je n'hériterai pas du titre, dont je ne veux pas de toute façon... Les nobles sont si pète-sec...
Au gré de ma jeunesse décousue, j'ai pu profiter de mon adresse pour m'entrainer au tir à l'arc, ainsi qu'à l'escalade urbaine (qui était plus que pratique lorsqu'un père mécontent de la cour assidue que je faisais à sa fille décida de me lâcher ses chiens aux fesses !). Ce trait particulier fit que mon père m'incita fortement à rejoindre la Société des Eclaireurs, histoire d'arrêter de percer les tapisseries à deux cents pieds...
Je suis né Damian Laënn dans une famille bourgeoise du quartier des Pièces d'Absalom. La vie d'un jeune homme aisé est particulièrement douce en cette ville, sauf lorsque la-dite richesse attire les convoitises de mes pairs. Fréquemment pris à parti par des jeunes brutes, j'ai pu développer un certain instinct de survie et la capacité d'être plus fuyant qu'une anguille, ce qui devint un de mes surnoms, aux côtés de "l'échalas", "l'asperge" et autres noms d'oiseaux encore moins flatteurs.
Particulièrement intéressé par la noblesse, mon père acheta son titre à un baronnet désargenté alors que je n'avais que dix ans, et de Damian Laënn je devins Damian De Laënn. Second de la "lignée", je n'hériterai pas du titre, dont je ne veux pas de toute façon... Les nobles sont si pète-sec...
Au gré de ma jeunesse décousue, j'ai pu profiter de mon adresse pour m'entrainer au tir à l'arc, ainsi qu'à l'escalade urbaine (qui était plus que pratique lorsqu'un père mécontent de la cour assidue que je faisais à sa fille décida de me lâcher ses chiens aux fesses !). Ce trait particulier fit que mon père m'incita fortement à rejoindre la Société des Eclaireurs, histoire d'arrêter de percer les tapisseries à deux cents pieds...