Les Bandits de Schlafenbuch - Résumés de partie

Le jeu de capes et d'épées. Gloire, honneur, charisme sont Ce qu'il faut dans ce monde

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Khazou
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Les Bandits de Schlafenbuch - Résumés de partie

Message par Khazou »

Rapport de mission d'Elena "Belladonna" Stiletti

Ce texte en langue Vodacce est chiffré à l'aide de la clé suivante : SERVADOMINISUM (Je suis la servante du maître)

Monseigneur,

Suite à mon long trajet, je suis arrivée sur place sur les lieux précisés par Maître Luigi, à savoir la Chatellerie de Schlafenbuch, dans la Baronnie de Kohlenhügen, elle-même dans le Comté de Felsgipfel, en Eisen. Mes informations sur la zone indiquent des réserves potentielles faibles mais existantes de charbon dans les mines, ainsi qu'une exploitation forestière potable et des carrières de granit de bonne qualité.

Peu avant mon arrivée sur ce territoire, je me suis arrêtée au relais de la Fleur Verte, dans le hameau de Grasshopper, où j'ai pu rencontrer un certain Freiherr von Händrig, dirigeant d'une baronnie voisine à celle qui nous intéresse. Celui-ci semble prometteur selon vos critères, et je pense le convaincre de voir Schlafenbuch selon votre vision d'ici peu.

Après peu de temps, j'ai appris qu'une importante bande de brigands sévissait dans la zone, et que celle-ci se terrait dans les mines de charbon. J'ai ensuite formé une alliance de circonstance avec le Baron Von Händrig, un autre Eisenör du nom de Karl Gelbkreuz, un moine montaginois de l'Eglise Vaticine et deux hommes qui accompagnent le-dit homme d'Eglise et dont les noms n'ont que peu d'importance pour l'instant. Nous nous sommes alors rendus sur place pour constater l'ampleur du problème : Tous les hommes et femmes valides ont été capturés par les brigands et emmenés dans les mines, les hommes pour extraire le minerai éventuel (même si les gisements sont dits épuisés) et les femmes servant de filles de joie aux bandits. Par ailleurs, les rares villageois restants (les hommes trop âgés ou estropiés pour pouvoir travailler dans les mines et les femmes trop laides pour stimuler l'ardeur des hommes) sont contraints et forcés de travailler aux champs et de produire nourriture et HENNIEZ pour les bandits. Cette information fut partagée et étudiée soigneusement par toute l'équipe.

En début de soirée, nous avons pu constater la véracité des dires des villageois en subissant la visite d'une délégation des bandits venue récupérer un stock d'HENNIEZ. Interloqués par notre présence en ces lieux, ils furent maîtrisés très rapidement et interrogés (pour ceux qui n'avaient pas péri dans le combat). Nous avons alors appris le nombre et les identités de plusieurs des bandits ainsi que des informations sur leur base :
  • Les bandits sont environ deux centaines, cachés dans les mines de charbon.
  • Le chef de la bande se nomme Redig. Il est supposé posséder plusieurs pièces d'armure en Dracheneisen.
  • Son bras droit est un montaginois qui se nommerait Arnaud de Montaigne de Pau.
  • Un autre de ses lieutenants serait un Vendelar maîtrisant au mieux les armes à feu.
  • Chaque entrée de la mine (au nombre de trois) est gardée par un canon.
En milieu de soirée, une cohorte de deux douzaines d'hommes armés est arrivée, à la recherche des hommes que nous avions défaits. La responsable temporaire de l'auberge expliqua au porte-parole du groupe, le fameux pistoléro Vendelar, que la troupe venue ravitailler en HENNIEZ était déjà repartie avec le stock. C'est à ce moment là que le Frère Alexandre choisit pour débuter un esclandre fictif au sujet d'une bouteille d'HENNIEZ vide. Le pistoléro Vendelar ayant peu de patience, l'homme d'Eglise se ramassa une balle dans l'épaule et m'incita à donner de la voix pour attirer les fusiliers à l'intérieur de l'auberge afin de bénéficier d'un terrain plus avantageux. Je passerai volontairement sous silence les actes de ce combat pour en venir à l'essentiel : Douze des bandits se sont échappés, six ont été capturés et sept abattus. Le moine a subi de graves blessures des suites d'une grenade qu'il avait lui-même allumée.

Au petit matin, un émissaire des bandits est venu apporter un sac et un ultimatum aux villageois. Ce sac contenait la tête tranchée de la fille de l'aubergiste. L'ultimatum était en gros le suivant : Les villageois avaient pour ordre de nous tuer et de livrer nos têtes aux brigands. Fort heureusement, nous avons su les "convaincre" de renoncer à une telle entreprise qui aurait signifié leur fin et celle de leur village. Ce noble Eisenör est d'une mollesse sans pareille : Il n'a absolument rien répliqué après s'être fait tancer vertement par une villageoise acariatre, là où n'importe quel membre de votre noble Famille aurait décervelé l'impudente avant la fin de la première phrase tant les mots étaient injurieux.

A présent, nous avons obtenu une information additionnelle concernant la mine : Il existe une quatrième entrée, qui se situe au niveau d'une faille creusée par l'eau d'un torrent. Nous pouvons nous infiltrer par cette issue et libérer un certain nombre de forçats. En les armant correctement, il nous suffira de les guider pour les extraire de la mine par une des issues secondaires et poursuivre la libération des villageois. J'espère obtenir de plus amples informations sur les raisons qui poussent une bande de brigands à exploiter ainsi une mine épuisée.

En espérant que la présente vous trouve en bonne santé, Monseigneur,

Votre dévouée

Elena
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Khazou
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Re: Les Bandits de Schlafenbuch - Résumés de partie

Message par Khazou »

Rapport de Mission d'Elena Stiletti

Monseigneur,

Notre expédition contre les brigands qui empêchent les affaires dans la châtellerie de Schlafenbuch fut un demi-succès. Nous nous sommes mis en route dès que possible pour aller vers la quatrième entrée mentionnée dans mon rapport précédent. Le trajet se déroula sans encombres et nous étions sur le point d'arriver sur site lorsque nous avons rencontré un nouveau noble Eisenör, répondant au nom de Lorenz Cornelius von Beck. Il semble être assez effrayé par quelque chose, ou quelqu'un.

Nous avons trouvé l'entrée secrète des cavernes, cachée derrière un buisson, et nous sommes engagés à l'intérieur. Arrivés à un embranchement, nous nous sommes séparés pour couvrir plus de terrain. C'est alors que notre groupe arriva dans une zone contrôlée, semble-t-il, par une bande de mercenaires castillans. Lorenz a tenté d'attaquer leur chef à l'arbalète, absolument sans succès, et s'est empêtré dans des balbutiements ineptes alors qu'il rechargeait.

J'ai alors entamé quelques passes d'armes avec le-dit chef, un nommé Esteban qui s'avère fin bretteur. Il semble avoir été formé à l'école Gallegos. Durant notre quasi-combat, nous avons pu déterminer que :
  • Esteban travaille pour Redig, mais il n'approuve pas certaines de ses méthodes, notamment le fait que ce porc d'Eisenör utilise les villageoises comme de vulgaires jennys qu'il laisse à ses hommes.
  • Il pourrait se montrer honorable comparé aux autres brigands : Il a choisi de ne pas nous attaquer alors qu'il avait très bien compris que nous venions libérer les villageois.
Nous sommes alors revenus en arrière et avons retrouvé Ludwig puis Karl. Ce dernier nous a confié qu'il avait rencontré le dit Redig (et que celui-ci porte plusieurs pièces de Dracheneisen dépareillées), et qu'il y avait un endroit moins protégé que le reste, et où les brigands surveillent des villageois qui creusent. Nous sommes donc partis dans ce sens et avons, au cours d'un combat qui s'avéra long et fastidieux (Ces Eisenörs sont résistants, note pour moi-même, penser à trouver un moyen de toucher uniquement les points vitaux) vaincu les brigands et libéré les villageois capturés.

Par la suite, nous sommes allés vers la caverne principale et avons convenu d'un plan d'action. Karl libérerait les villageoises pendant que nous attirerions la masse des brigands ailleurs. Ce fut chose faite grâce à un tir de pistolet de la part de Ludwig sur la réserve de poudre. Pendant que les villageois étaient exfiltrés, nous sommes allés dans la direction de Redig, les armes au clair. Aussitôt, ce lâche a choisi de s'entourer de ses gardes, ce qui nous a poussés à la retraite. Par conséquent, nous avons quitté la mine après avoir perdu Karl de vue pendant un certain temps.

Actions à entreprendre :
  • Trouver un moyen d'éliminer Redig.
  • Lorenz von Beck semble fuir quelque chose : Découvrir la raison de sa crainte et l'aider éventuellement à la combattre, contre une faveur.
  • Les pièces de Dracheneisen de Redig semblent venir de familles plus que différentes. Mettre la main dessus permettrait d'obtenir des faveurs en les rendant. Ne pas laisser Ludwig s'en occuper, il serait capable de les rendre pour rien !
  • Rassembler les villageois et les protéger (ou faire en sorte d'organiser la dite protection)
  • Découvrir ce que Redig cherchait par dessus tout dans la mine.
En espérant, Monseigneur, que la présente vous trouve en bonnes dispositions,

Votre dévouée

Elena
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TiTonoff
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Re: Les Bandits de Schlafenbuch - Résumés de partie

Message par TiTonoff »

Comme dirait Miguel Ortega:
les femmes elles font que de trop parler...
et c'est bien pour ça qu'on a des regrets,
mais toujours trop tard...

A+ pour de nouvelles aventures
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Re: Les Bandits de Schlafenbuch - Résumés de partie

Message par Cyberpilot »

Réflexion de "Karl Gelbkreutz":
Artefact Syrneth détruit, trop dangereux dans les mains de quiconque. Probable présence de Légion, vu les dégâts subi par la voile au moment de la destruction de l'artefact, un moindre mal. Riddick a vu mes capacités, il est marqué, pour l'élimination. Aussi, la question de que faire de la Vendel est a poser, elle est de mèche avec Riddick, mais tant qu'elle nous aide, on ne va pas s'en plaindre. De toute façon, elle a déjà averti Riddick de notre position. Le plus important sera probablement Miguel, il est resté avec elles, pour les défendre, mais défendra-t-il elle contre nous?
Réflexion HRP:
Un montaginois aurait fait un choix bien plus brutal pour un assassin, Mortis + Boucher OP. Aussi, c'est bien plus facile de cacher le style Mortis derrière Boucher. C'est aussi vrai que ça fait pas mal de HP, mais les montaginois ont un autre avantage: "Tout est dans le Panache comme dirait on."
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Khazou
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Re: Les Bandits de Schlafenbuch - Résumés de partie

Message par Khazou »

Le texte suivant est rédigé en Vodacce chiffré selon la clé suivante INNOMINEDOMINI (Au nom de mon Maître)

Monseigneur,

Je vous prie de m'excuser du temps de latence depuis mon dernier rapport, mais les circonstances ont fait que je n'ai eu que peu de temps pour moi ces dernières semaines, et en tout cas, pas assez pour écrire un rapport digne de cette appellation.

Le cas Redig

Lors de ma dernière communication, j'ai abordé le cas d'un brigand qui sévissait dans la région de Schlafenbuch. Il s'agissait d'un certain Redig, aussi connu sous le nom de Kristoff Greta (von) Normos. Après vérification, il s'agit d'un ancien chef d'une troupe de mercenaires du nom de _Stahl Schweine_. Toujours est-il que nous avons découvert la raison de son activité dans la région : Une antique machine, sans doute d'origine Syrneth. Je n'ai pu avoir que le compte-rendu de deux personnes concernant le fonctionnement de la-dite machine, aussi je joindrai surtout les croquis que j'ai pu en réaliser.

Selon Lorenz von Beck et Karl Gelbkreuz, la machine servirait à rendre les personnes qui y sont exposées non seulement invisibles, mais aussi intangibles. D'après Karl, la machine est une _création de Légion_, mais la raison de son aversion ne m'est apparue que plus tard. Après que nous ayons libéré les villageois prisonniers de Redig, Karl a pris sur lui la décision de détruire la machine en même temps qu'une bonne partie de la mine, en particulier la Sainte Barbe, qui a provoqué le destin tragique d'un bon nombre de brigands.

Suite à cela, nous avons trouvé refuge dans une grotte dans les montagnes surplombant Schlafenbuch, et avons attendu la riposte des-dits brigands. Nous avons alors été rejoints par une nommée Wilma qui était membre de la bande que nous venions de mettre à mal. Elle semble depuis s'être prise d'affection pour Miguel Ortega, à surveiller donc.

La riposte est venue sous la forme d'une attaque nocturne, attaque que nous avons repoussée avec succès malgré le surnombre des assaillants. Le Vendelar expert en armes à feu que nous avions capturé lors de l'attaque du village et qui avait été libéré depuis est mort de ma main.

Dans les décombres de la machine, j'ai pu mettre la main sur un oeuf d'obsidienne gravé de plusieurs lignes. Cet objet a été depuis utilisé à des fins intéressantes, j'y reviendrai plus tard dans mon rapport.

Nous avons pu comprendre l'aversion de Karl peu de temps après. En effet, l'explosion de la machine semble avoir provoqué l'arrivée de créatures d'ombre dans la région de Gottkirchen, créatures qui ont attaqué notamment une petite fille du village, et qui fut finalement trouvée lors d'une battue et terrassée par l'explosion d'une grenade dans sa gueule. Il se pourrait que d'autres créatures de ce genre soient encore dans la région. A suivre.

Départ pour Gottkirchen

Nous sommes alors partis pour Gottkirchen, capitale de Heilgrund, afin que Ludwig von Händrig puisse réclamer les terres de Schlafenbuch. Je compte l'aider afin qu'il me doive une faveur qui pourrait intéresser votre Seigneurie. Sur le chemin, nous sommes passés par le Comté de Rottenwald, où le Baron von Händrig a fait une première grosse bourde. En effet, il a jugé bon d'expliquer son plan à un des héritiers potentiels du Comté de Felsgipfel.

Le Comte Manfred von Rottenwald a donc proposé à notre petite équipée une virée par les proches marais, où sévissait un monstre particulièrement dangereux, le Verschlingen. Bien qu'il s'agisse clairement d'un piège grossier, Ludwig a accepté la mission. Une pisteuse Ussurane, Katarina Breslau Ilnova v'Ivgorsna, nous a accompagnés dans cette tâche. Nous avons aussi été rejoints par un certain John Powdersson, un Vendelar à la langue trop bien pendue pour être honnête.

Alors que nous prenions la direction du grand Marais de Heilgrund, nous avons croisé un pont gardé par un Gentilhomme et son équipe. Ce gentilhomme, Karl Sigmund Leomund, exigeait un droit de passage pour payer les impôts exorbitants du village de Moos. Après avoir croisé le fer avec lui, je me suis acquittée de la taxe et nous nous sommes rendus au village de Moos.

Après une nuit tranquille, nous nous sommes enfoncés dans les marais et avons fini, après plusieurs péripéties, par trouver le Verschlingen et le tuer. Quel dommage que son venin soit devenu de l'eau à sa mort, il aurait pu trouver un grand nombre de preneurs en Vodacce, au vu de sa toxicité extrême.

Après avoir tué la bête, donc, nous sommes partis pour Temkirchen, capitale du Comté de Mittelmoos, où nous avons reçu notre récompense de la part du Comte, fort heureux de la mort du Verschlingen. Apparemment, le monstre corrompait toute la région, et il apparaît que nous sommes devenus des héros régionaux. J'ai pour ma part refusé la récompense pécuniaire, préférant de loin une potentielle faveur lorsque j'en aurai besoin pour mieux servir les intérêts de votre Seigneurie. A la cour du Comte, j'ai eu l'occasion de converser avec Marco di Bermaschi, un émissaire du Prince Bernouilli en Heilgrund.

Après cela, nous sommes repartis pour Gottkirchen, rencontrant au passage Sir Nigel Loring, Razor de la Guilde des Spadassins et Noble Avalonien portant du Dracheneisen. Il semble avoir une certaine dent contre Mr. Powdersson, du fait de la propension de ce dernier à utiliser des armes à feu plutôt que des lames.

Gottkirchen et Robes Rouges...

Finalement, nous sommes arrivés à Gottkirchen, couverts de poussière. Après un arrêt pour nous rendre présentables et faire fabriquer des accessoires vestimentaires avec le cuir du Verschlingen, nous nous sommes rendus à la Cour de l'Eisenfürst Stephen Heilgrund III.

Lors d'une entrevue privée avec l'Eisenfürst, grand collectionneur d'objets Syrneth, j'ai pris sur moi de lui remettre l'oeuf d'obsidienne abordé plus tôt dans ce rapport, en vous nommant comme étant le donateur. Après tout, la famille passe avant tout.

A la Cour, j'ai retrouvé Marco di Bermaschi, ainsi que l'ambassadeur officiel de Caligari en Heilgrund. Je tiens à vous préciser que ses dents ont grincé lorsque nous nous sommes rencontrés. Fort heureusement, je n'étais plus en possession de l'oeuf. J'ai eu également l'opportunité de rencontrer le Padre Ernando Santa-Cruz, que je soupçonnais alors d'être un inquisiteur, mais je m'expliquerai plus tard.

Après de très nombreuses discussions futiles (surtout de la part de Mr. Powdersson), nous avons choisi de partir à la suite de Redig, et avons pris la direction de Freiburg et ensuite de Pösen. Prendre la route fut facile, la suite le fut moins.

En effet, lors d'un arrêt dans une auberge miteuse en bord de route, nous avons sombré dans le sommeil pour nous réveiller en cellule. Quelle ne fut pas ma surprise que d'être interrogé par le Père Santa-Cruz sur mes fréquentations, en particulier sur Miguel Ortega, notre force de la nature et amateur de femmes. Je lui ai répondu de la manière la plus franche possible, tout en éludant bien évidemment la question de l'oeuf d'obsidienne, et ai confessé mes péchés les plus véniels.

Enfin, grâce à Karl, nous avons pu obtenir notre liberté, à l'aide de grenades, du contenu de la Sainte Barbe et d'un peu de chance. Nous sommes partis de notre prison, poursuivis par un inquisiteur Eisenör au caractère de cochon, un nommé Vater Stahl.

Nous avons été séparés pendant notre fuite, et c'est après quelques heures que je suis arrivée à un village de bûcherons au nom imprononçable (ou Eisenör, comme vous préfèrerez) où l'on me prodigua l'hospitalité en échange d'histoires.

Le lendemain, je prenais la route jusqu'à une auberge dans un village proche, où je retrouvai Wilma et Karl. Miguel et John étaient toujours manquants, en revanche les espions des Inquisiteurs étaient bel-et-bien là.

J'espère que ce rapport succint mais exhaustif de mes activités en Eisen vous contentera, Monseigneur, et vous prie d'agréer l'assurance de mon plus profond respect.

E.B.
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