Trilogie -extraits des Chroniques de Henry Alexander Crowley

Parce qu'un œil vaut mieux que deux tu l'auras...

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Trilogie -extraits des Chroniques de Henry Alexander Crowley

Message par Darano »

je met des textes qu'Henry a écrit dans le calepin de cuir noir...
"Tout le monde tient le beau pour le beau,
c'est en cela que réside sa laideur.
Tout le monde tient le bien pour le bien,
c'est en cela que réside son mal."

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Re: extraits des Chroniques de Henry Alexander Crowley

Message par Darano »

On m’a dit que j’étais un Mystique, un voyant, un possédé, un illuminé ou un saint. Je préfère le thème de medium.

Je m’appelle Henry Alexander Crowley. Je suis l’arrière petit fils non reconnu d’Aleister Crowley de son vrai nom Edward Alexander Crowley. Comment je suis l’arrière petit fils illégitime d’une grande célébrité de l’Occulte et du Spiritisme? Je vous explique; Mon grand-père est né en 1923 lors d’une cérémonie occulte qui, selon les dires de nombreux écrivains et biographes, à entraîné la Mort de Raoul Loveday. Sa mère est morte en le mettant au monde. Mon grand-père est né le 21 juin 1948 à Bristol en Angleterre, il portait le nom d’Elliot Alexander Crowley (fictif). Sa Mère Sylvia Lévêque (fictif) est morte en le mettant au monde. À la différence de mon arrière grand père, peu ou plus certainement personne n’a écrit sur mon grand-père. Mais selon les dires de mon père, il suivait les thèses de mon illustre aïeul. Il aurait même été plus loin, Il aurait percé certains secrets et des énigmes de la Rose-Croix ou les francs-maçons, combinant les savoirs et les connaissances pour développer sa propre voie. Mon Père Ethan Alexander Crowley (fictif) est né le 16 aout 1969 à Bethel dans l’état de New York et sa mère Elisabeth Cardinal (Fictif) est morte en le mettant au monde. Selon mon père, la réussite du festival hippie qui se tenait dans la région et du à sa naissance et à l’onde de choc psychique et onirique qu’elle dégagea… Il parle de Woodstock! Et voici mon tour… et je n’ai pas dérogé à la règle familiale que nous avons depuis trois générations. Je suis né en tuant ma mère. Enfin je ne me sens pas responsable de cela. Les accouchements difficiles sont plus courants que l’on croit même au 21ème siècle. Mais à la différence de mes aïeuls, mon père est vivant. Il s’est toujours caché publiquement du lien de parenté qu’il a avec Aleister Crowley, vendant qu’il y a autant de Crowley en Angleterre que de Dupont en France. Et qu’Aleister Crowley n’avait pas d’enfant reconnu malgré une sexualité débridée. Ce qui est bizarre, c’est que les royalties des livres d’Aleister Crowley fournissent la fortune de mon père et de moi.
Mon père m’a parlé du lien qu’il a avec Aleister. Il est Aleister Crowley. Oui, Je parel bien du Aleister Crowley. Celui que l’on nommé la Bête. Il se serait réincarné dans ses fils. Il blague? Il blague ! Oui, je suis convaincu qu’il blague (enfin, je crois). Par contre, je ne sais pas qui était ma mère, je ne connais que son nom : Sonja Pasteur .

Je ne crois pas en Aiwass, je ne crois pas au livre de la loi. Ou en la loi de Thelema. Mais j’ai lu sur beaucoup de sujet que mon homonyme à écrit : Magie, tarot, yoga, kabbale et Astrologie. J’ai aussi lu sur d’autre domaine comme la recherche de la Grande Œuvre (alchimie), l’écriture automatique selon Francisco Cándido Xavier et bien d’autre chose. Mais au fil du temps qui passait, je me suis posé une question. Pourquoi je lisais des œuvres des domaines du paranormal? Quel est ce besoin de savoir ce qu’il y a derrière le voile fine et si hermétique de la réalité ? Le pourquoi j’ai toujours eu un travail bête et répétitif pour pouvoir me consacrer des heures à la méditation passive. D’avoir des horaires décalés pour pouvoir passer des heures en journée dans les bibliothèques à chercher un texte qui me guiderait dans mes recherches. Ces heures sont à la fois de l’introspection et m’aide à contenir la face sombre. Ce petit côté de moi qui me pousse des fois au Mal. A ce mal si pure. A ce que Robert Louis Stevenson décrivait comme la lutte entre l’homme et la Bête dans L'Étrange Cas du docteur Jekyll et de M. Hyde. J’ai vraiment peur du potentiel de la Bête qui est en moi.

Je suis tombé un jour sur L’Utilisation de la Polychromie et de l’Architecture paradoxale dans les Rêves et les terres de Chasse de Steve de Montjoie de la Nouvelle Orléans (semi-fictif) 1759-1830. Ce texte écrit en vieux français explique comment par un travail sur les couleurs contenus dans les rêves. Le livre est séparé en trois grandes parties.

La première partie est consacrée à la porte du dormeur : c’est comment il faut s’y prendre pour arriver dans les rêves d’une personne.
La deuxième partie est consacrée la polychromie des rêves : ce que représente les couleurs, puis comment les modifier et les conséquences que cela entraîne.
Extrait du livre : L’Utilisation de la Polychromie et de l’Architecture paradoxale dans les Rêves et les terres de Chasse : deuxième partie, les couleurs des rêves.
Le rouge : c’est la couleur de l’énergie, de la passion, de la force, de la motivation et du dynamisme. Il nous nous stimule et nous incite à agir. Il symbolise l’esprit des pionniers, des révolutionnaires, des extravertis. Il fait monter la tension, accélère les pulsations cardiaques, élève la température du corps et met l’attention en alerte.
L’orange et le jaune : ce sont des couleurs qui élèvent l’esprit, stimulent l’énergie et apportent de la gaieté. L’orange est associé à la joie, à la créativité, à l’exaltation et au mouvement. Le jaune est associé à la volonté, l’intellect et les sentiments d’indifférence. Ce sont des couleurs chaudes et optimistes qui ont la faculté de nous réjouir le cœur et de nous remonter le moral.
Le vert : il est associé à l’équilibre et à l’harmonie. Il représente l’équilibre, il est neutre - ni chaud, ni froid. C’est la couleur de la nature, de la bonté, de la compassion de l’affection et du partage. Vert signifie honnêteté, stabilité et digne de confiance. Le vert réconforte et allège le stress.
Le bleu : c’est la couleur du calme. Rafraîchissant, apaisant, réconfortant, le bleu aide à adopter un rythme plus détendu et à se décontracter. Il ralentit le rythme cardiaque et fait baisser la tension. En agissant sur nos muscles et notre esprit, il nous permet de respirer plus profondément. C’est la couleur de la communication, de l’imagination et de la force intérieure. Il apporte le calme, la paix et la sérénité.
Le violet : il est associé à la méditation, il porte à la contemplation et à l’introspection. Il est lié à l’intuition, à la clairvoyance et à l’ouverture d’esprit. Il favorise la perspicacité et la perception. C’est la couleur de la dignité et du respect de soi. La vibration à la fois forte et raffinée du violet en fait une couleur douce, apaisante et élève l’esprit.
Le rose : c’est la plus féminine des couleurs. Elle incite à la douceur et la tendresse et exprime l’amour et le bonheur. Ses nuances chaudes et caressantes sont pleines de bienveillance et d’affection. Il entretient l’amour et l’amour de soi, il représente la tendresse, la protection et la compassion.
Le marron : La vibration de cette couleur nous aide à redescendre sur terre et nous y sentir bien enracinés. La terre alimente constamment notre énergie. Il nous permet de nous sentir plus forts et plus équilibrés.

La troisième partie est consacrée à l’architecture paradoxale : ce que peuvent représenter les éléments des rêves. Comment créer des Rubans de Moebius, des boucles « Repetitia eternam », des couloirs de paradoxe, des erreurs cosmiques ou des « Vides plein ».
Le livre contient une quatrième partie : grâce à la table des matières, je sais qu’elle se nomme la loi du Styx, Mais elle a été retirée de l’exemplaire que j’ai trouvé.
Il m’a fallu beaucoup de travail et de nombreuses recherches pour réussir à appréhender les explications du livre. Puis un soir, lors de ma méditation du soir, j’ai eu envie d’essayer la technique de la porte du dormeur. Je me suis focalisé sur ma logeuse. Après quelques fausses routes oniriques, j’ai pu arriver jusque dans ces rêves. Il ressemblait à un grand pré de géraniums rouges. Le géranium rouge représente le chagrin de la personne aimée. Je me suis rappelé qu’elle avait perdu son mari, il y a quelques mois. Le ciel était noir et violet. Je tenté de modifier le ciel. J’y ai rajouté du orange, supprimer un peu de noir. J’ai découvert quand j’ai voulu quitter les rêves de la concierge, une zone qu’aucun noir sur terre ne peut avoir. Une impression de gouffre immense et sans fond mais qui paradoxalement semblait caché autre chose. Je veux savoir ce qu’il y a derrière.
Le résultat était que le lendemain, elle était plus joyeuse. Mais cela paraissait faux. Elle était joyeuse mais comme sous l’effet d’une drogue. Je dois avouer que en plus je n’été pas sûr car avant je n’ai jamais fait attention à la petite dame qui nettoyait le couloir. J’ai donc continué à travailler sur ces rêves et j’ai vite compris que travaillé les rêves et très proche de la peinture. Il faut maîtriser différentes écoles et styles. Un amoureux de la nature sera souvent mal à l’aise si vous travailler sous rêve avec l’idée de faire du cubisme. Mais on ne peut établir des règles pour cela. Ce qu’il faut c’est connaître la personne. Il faut avoir des détails, connaître ses gouts, ses envies. Avec ces conditions, Vous pouvez modifier son rêve comme la glaise originelle. Sans cale travailler les rêves des gens, c’est un peu comme ouvrir une montre à gousset avec un pied de biche… Elle sera ouverte, mais pas sûr qu’elle fonctionne.
Je suis sûr que j’arriverai à matérialiser le cauchemar ou le rêve de quelqu’un je le sens, j’en suis proche. De faire sortir le monstre du placard de la psyché de ma cible.
Mais je parle de mes débuts comme médium. Qui suis-je ? Je suis Henry Alexander Crowley. Arrière-petit-fils d’Aleister Crowley. Je mesure 1mètre89. Je suis plutôt maigre. Je fais du sport mais uniquement dans l’idée de proverbe "Anima Sana In Corpore Sano" (un esprit sain dans un corps sain). Je déteste courir, mais je cours pour garder la forme, pour que le reflet du miroir me flatte. J’ai de longs cheveux noirs souvent attaché en queue de cheval quand je travaille. Je m’habille toujours en noir, dans un style gothique classe. Je rajoute souvent une touche de couleur. Cela peut être une cravate, un foulard, l’intérieur d’une veste ou mouchoir plié dans la poche de la veste. Je travaille dans une usine de Liverpool sur une chaîne de montage. Ce que je monte ? Aucune idée et aucun intérêt! Je le monte, point final. Pour ma liberté de temps et pour ma liberté face à mon père. Je m’estime comme étant une personne ayant des valeurs. Je n’aime pas la violence gratuite et les actes. Je me définis volontiers comme un pacifiste, mais pas comme un non-violent. Je voudrais mettre mon don au service des gens, mais souvent ils ont peur. C’est dur de ne pas craindre les monstres du placard. Ce qui me pose des problèmes c’est la part d’ombre de mon âme. Je me laisse aller quelques fois à la déprime. Et quand je me laisse aller, mes vices reprennent le dessus: HENNIEZ, drogues, débauche et décadence. Et la spirale infernale se lance et pour en sortir… C’est l’enfer. Je dois toucher le fond pour remonter. C’est ce que j’appelle mon côté noir, ma part de ténèbres, Mon âme sombre…
J’aime les petits objets en argent et y ressemblant : bague, boucle d’oreilles, chaînes pour clé.
Pour finir, je citerai Shakespeare qui disait : nous sommes faites de la même matière que les rêves.

Liste des livres que Henry Alexander Crowley a dans sa valise.
La divine Comédie de Dante Alighieri
Faust de Goethe
L’Origine des espèces de Charles Darwin (en anglais)
La République de Platon
Frankenstein ou le Prométhée moderne, de Mary Shelley (en anglais)
L'Étrange Cas du docteur Jekyll et de M. Hyde de Robert Louis Stenvenson (en anglais)
Alice au pays des merveilles de Lewis Caroll
Volumen medicinae paramirum de Paracelse
Codex Trivulzianus de de Vinci
L’illiade et l’Odyssée d’Homère
L’Utilisation de la Polychromie et de l’Architecture paradoxale dans les Rêves et les terres de Chasse de Steve de Monjoie de la Nouvelle Orléans.(hommage à Chimel)
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Re: extraits des Chroniques de Henry Alexander Crowley

Message par Darano »

Prologue :
Samedi 5 décembre 2009
Encore une nuit agitée ou utile, je ne sais que dire quand le matin arrive. J’ai passé ma nuit à rêver. Et pour une fois, je n’ai pas médité pour arrive à ce résultat. Et à la différence du sommeil, mes rêves sont fatigants. Le réveil a été violent, telle une longue impression de chute dans le vide avec un éclatement sur un sol froid. Mes yeux me faisaient mal, et dans ma tête une phrase résonnait, martelée contre mes tempes avec violence au point que mes tympans me transmettent : « Nos vies s’écoulent comme l’eau d’une cascade, nous ne sommes qu’un dans la rivière et un de nouveau après la chute ». Belle parabole pour dire que notre individualité n’est que par le fait de notre vivant. Telles les gouttes d’eau tombant grâce à la gravité qui était uni avant la chute et qui retournera dans la masse de la rivière. Joli version Saharienne de « Tu es poussière et tu retourneras en poussière » dixit Moïse et la Bible. Comme quoi, ou il y a de l’eau les hommes font des métaphores avec la poussière, et ou il y a du sable, les hommes font des métaphores avec l’eau, Drôle non? Mais cela ne me retire pas le mal de tête carabiné que j’ai.
J’allume mon Pc, tout en buvant mon Breakfast tea du Ceylan et je me mets à lire la presse française comme chaque matin pour entraîné mon français. Je tombe sur l’articleparlant d'une découverte exposé au musée du Quai Branly.
Je classe ceci dans la catégorie : Rêve prémonitoire ou tentative de manipulation pour me faire aller quelque part ou m’intéressé à quelque chose. Cela est soit trop subtile soit trop gros pour venir de mon père. Mais mon intérêt à été piqué au vif.
J’appelle l’usine. Je leurs dit que j’utilise mes jours de vacances qu’ils me gavent que je dois prendre rapidement. Le chef Johnsson râle. Je m’en moque mais je lui dis que je suis désolé. Je suis par sûr d’avoir été convaincant. Mais le but est atteint, je vais pouvoir aller à Paris. Billet d’avion, départ. Le vol a été insupportable. Une grand-mère qui m’a fait la discussion pendant tous le vol, Un enfer. J’ai pris une chambre dans un petit hôtel proche de la butte Montmartre. Je me déplace pour aller au musée du quai Branly. Mais en cours de route, je décide de faire un détour par le Musée Rodin. J’ai eu envie d’admirer le Penseur et la Porte des Enfers. Puis je me déplace à pied dans les rues de Paris. Je passe dans quelques bibliothèques qui font de la vente et l’achat de livres anciens. Je les questionne s’ils ont un exemplaire complet de l’utilisation de la polychromie et l’architecture paradoxal dans les rêves et les terres de chasses. Les réponses que j’ai c’est soit qu’ils n’ont pas d’exemplaire soit l’exemplaire ne possède pas le quatrième chapitre. Donc les yeux remplient de déception, j’arrive au Musée du quai Branly. Le bâtiment construit sur l’impulsion du Président Chirac est en triste état. Je passe par l’entrée en jouant les touristes anglais qui ne comprennent pas le français. Je tombe sur le conservateur du Musée du quai Branly. Monsieur Ibrahim Rassouf. Il a un bras dans le plâtre et un œil au beurre noir. Je me présente, et commence par lui parler de mon intérêt pour le texte sur le cylindre de Cyrus, sans lui dire ou je l’ai entendu la phrase avant de la lire, mais je vends que j’ai été plutôt interpellé par la métaphore de la chute d’eau et que je voudrais en savoir plus sur la civilisation qui avait ce genre de façon de voir la destinée. Ce qui est vrai. Il m’invite d’allé parler dans son bureau...
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Re: extraits des Chroniques de Henry Alexander Crowley

Message par Darano »

Le Musée
En pleine discussion avec Ibrahim, je me retrouve interrompu par un sosie vestimentaire d’Indiana Jones (Vivien) qui est apparu comme s’il voulait voir avec qui le professeur parlait. Il était accompagné de deux femmes dont, j’ai cru pour la première dans un premier temps, son unique mode de communication et son appareil photo pro. Je dois reconnaitre que je l’ai trouvé très belle dans son tailleur et avec ces cheveux noirs. La seconde est une femme musclé mais au charme animal tout aussi développé que sa musculature. Elle semble venir de l’est de l’Europe. Russe ? Pas impossible. à la fan de l’appareil photo, je pense que je devrais lui rappeler la loi sur le droit à l’image. L’homme qui s’est présenté comme se nommant Jack Benoit, se met à parler du Cylindre de Cyrus sans se préoccuper qu’il est entré dans une discussion entre le professeur et Moi. Mais je le remercie mentalement. Car j’ai appris de nombreuses choses sur le cylindre et son histoire. Comment un soldat anglais l’a ramené du désert (de Saint André, je crois). Les joues coupées digne d’un épisode de Nick/Tup. Le professeur montre un scan 3D du Cylindre. Je fais commence à faire une recherche dans mes connaissances. Et je vois paraitre devant moi la constellation du Scorpion dans l’enchevêtrement de points et de signes qui le recouvre. J’en fais par aux trois personnes présentes. Je suis surpris car le professeur n’avait pas vu le signe du scorpion. La femme photographe présente qui s’appelle Ména continue de photographier et commence à parler. Elle questionne sur le soldat anglais. L’Indiana bis demande si avec la composition de la roche ont peut situer d’où vient le cylindre. Le professeur Rassof délimite un périmètre dans le Sahara, entre l’Egypte et le Soudan. Là, l’archéologue propose à Ibrahim de financer l’expédition pour trouver la cité qui est annoncé sur le cylindre. Et il le propose à Moi, nous disant qu’il fait partie d’un journal suisse et il cherche une exclusivité. Il sort de la pièce et lance un appel à quelqu’un donc je crois que le nom est Luc. Je suis surpris par la vitesse ou il a proposé cela et quand le professeur. L’homme (Vivien) revient et quand Ibrahim parle d’organisation de l’expédition. Jack Benoit me semble encore une fois pressé. Quand Ména me pose la question de ce que je montais dans mon travail, je lui réponds le plus honnêtement du monde, mais je ne crois pas qu’elle me croit. Je crains même qu’elle me prend pour un illuminé. Je suis surpris de me faire embraqué dans une expédition aussi vite et pour ne pas les couper dans un élan est se mettre à réfléchir qu’ils viennent de prendre un monteur sur chaîne de montage avec eux, je leurs donne mon passeport pour les formalités. Tatiana a l’air de se faire chier dans la discussion. Elle finit par partir.
Le professeur nous propose de se retrouver le soir à la rose de sable, un restaurant tunisien de Paris. Je continue de travailler avec lui et Indiana Jones sur le cylindre jusqu’en fin d’après midi. Je passe à mon hôtel et je me change. Je profite pour faire quelques exercices pour ne pas me rouiller. Il faut entretenir son corps. Le soir, nous soupons ensemble. Ils ont déjà les billets d’avions. Ils sont doués et ont des capacités financière et de contact pour avoir les visas et les autorisations aussi vite que cela ! Intéressant, très intéressant. Mais cela cache quelque chose.

Les Rêves
Après les avoir quitté, je rentre à mon hôtel et je commence une méditation sur laquelle je vais surement y passé la nuit. Je circule entre les rêves des personnes que j’ai vu aujourd’hui et je voit derrière eux de grands formes. Derrière Ména, un grand humanoïde avec des cornes. Derrière un russe qui se nomme Wladimir, un chevalier. Derrière un homme bien habillé (un géant) MAIS c’est ce qui était derrière Jack Benoit qui attira toute mon attention. Dans un immense nuage noir, une créature tapait de ces poings pour se libérer. Je ne peux m’approcher d’elle je suis bloqué par mes connaissance par mes compétences de spiritismes et de channeling. Je finis par laisser cette forme tranquille et je décide d’aller me promener dans les rêves d’Ibrahim. Quand je l’ai trouvé, je commence par retravailler le décor. Je le replonge dans son lieu de travail. Je décide d’apparaître son la forme d’un hibou (symbole de la sagesse et de la connaissance chez les grecs). Et l’a je passe la nuit à tenter de faire travailler Ibrahim avec inconscience sur le cylindre. J’ai remarqué que l’on peut avoir de bon résultat. Je suppose que l’intérêt d’Ibrahim pour les civilisations du Sahara n’est pas qu’universitaire. Je pousse le coté recherche du passé de ces ancêtres. Tard dans la nuit, je me détache de son rêve car je veux le laisser dormir un peu sans ma présence, il faut que le guide soit en forme… et moi, aussi.

Le Caire
Le lendemain c’est départ pour l’aéroport et pour l’Egypte. Là, je profite pour me reposer. Bonjour le Caire.
A l’aéroport, nous sommes accueillis par trois personnes. Je reconnais Luc (Yannis), un chef d’entreprise de média suisse, Une forme déguisée de façon bizarre et complètement anecdotique dons l’apparence globale me fait penser à Vlad et un adolescent que ces compagnons appellent Jonathan, je crois. De là, nous partons dans la fraicheur relative de l’Afrique nord-saharienne du mois de décembre. Nous partons ensuite sous le commandement d’Ibrahim chez l’une de ces amis d’enfance. Elle discute avec le russe qui ne répond pas. Les autres disent qu’il est sourd et muet. La femme ne les crois pas, mais elle simule de les croire. J’ai adoré sa maison que ce soit au niveau de l’architecture typique ou des couleurs utilisées. Quel magnifique ocre. Dans la discussion, qu’Ibrahim, la femme et les journalistes (les joueurs) ont, je perçois une fois de plus, d’urgence dans les réactions des journalistes. Ils veulent partir vite même s’ils ne savent pas ou ils vont. Le professeur parle du Dard du Scorpion une structure rocheuse proche de son village natal. Je me congratule moi-même et seul. Jouer sur la fibre de ses origines était une bonne idée. J’en profite pour me rapprocher de l’homme déguisé et lui demandé s’ils sont pressé : il me répond que Oui. Et là, c’est reparti pour un tour en avion.
L’aéroport
Dans l’aéroport, je discute avec mes nouveaux compagnons. Je commence à comprendre qu’ils ont d’autres buts que ceux qu’ils m’ont annoncés. L’exclusivité n’a pas l’air d’être leur seul but. Je prie pour qu’il me dise la vérité et que je ne doive pas aller fouiller leurs rêves et leurs consciences. Je voudrais leurs laisser leurs propriété privée neuronale ! Mais je le ferais si je ne peux avoir de réponse clair à mes questions. Je remarque que nous sommes escortés par une personne qui reste à distance. Je m’approche du patron de média suisse(Yannis) et lui demande si cette mission est risquée. Il me fait une réponse alambiquée sur le fait de se couvrir les uns et les autres sur ce que je qualifierais simplement comme une quête initiatique pour les personnes que j’accompagne et sur des événements qui sont arrivé à Saint Petersburg, dont j’ai vaguement entendu parler. Je lui demande s’il a du personnel d’escorte pour le couvrir. Il me répond que non. Quand je lui signe que nous sommes suivis par une personne. À ma très grande surprise, je vois Luc qui part pour faire causette avec la personne qui nous suit Cela n’est pas pour me rassuré dans quoi je me suis engagé. Et. Cela doit être une technique de journaliste d’investigation suisse. Je préviens les autres de cet incident qui réagissent en lui demande pourquoi il a été vers le mec. Lors du chargement des bagages, je me dévoue mais dans l’unique but de regarder les étiquettes d’embarquement des valises. Le professeur se joint à moi et semble intéressé par la valise d’un dénommé Wladimir Bosk. Il me fait un clin d’œil complice.

Le Bus
Nous voici parti sur les routes du sud de l’Egypte, en cour de route, je commence à m’interroger à voix haute sur les buts de cette expédition. Les réponses sont floues, vagues et obscures. Mais je persévère. Luc me sort son black Berry et me montre que le journal « la voix du Grutli » existe. Merci, comme si je ne l’avais pas cherché à Paris cette information. Le professeur, qui est assis devant, tire le frein à main et je m’explose la tête contre le siège de devant. Il sort et commence à vider son sac. Il sait que le russe déguisé et l’un de ses agresseurs dans une histoire de vol de livre précieux qui à mis le Musée Branly dans un sale état. Les explications que je prends au vol sont lacunaires, mais il me semble que c’est plus sincère et vraie que ce que j’ai entendu les dernières fois. Ils parlent de plan de conquête du monde par l’Agence. D’artefact à retirer du regard du personnel de l’agence de manque de temps pour y arriver. Le livre volé au musée Branly serait un de ces artefacts de ce type. Il y aurait une histoire de combinaison d’objets. La discussion se finit par un Ibrahim vexé et surement inquiet dans quoi il s’est embarqué, d’une gêne chargée dans le bus.
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Romain, Fait court! Désolé pas cette fois !

Message par Darano »

Romain, Fait court! Désolé pas cette fois !
Note du Joueur Au Mj : j’ai brodé sur les faits de la séance solo que j’ai eu avant la séance. Le but que si un des autres joueurs lisent une fois le journal d’Henry, ils découvrent comment il travaille et cela sans qu’on le joue. Ce n’est surement pas la vérité du monde, mais la technique de Henry, il décrit sa technique de manipulation oniriques qui utilise phase compréhension, concentration, visualisation et création/modification. Si tu es en désaccord devant cette façon de faire pas de problème, il faut juste me le dire pour les détails comme pour les grandes lignes.

Interlude :
Voici que je m’enfonce dans le réveil de Jonathan. Les chemins sont tortueux, tout est flou sans contours précis. Je trouve la maison de son âme son esprit. Les lignes de fuites verticales sont déformées. Les perspectives s’écrasent ou s’allongent selon les envois de signaux de douleur, dû à la blessure. je suis fou d’entrer dans l’esprit de quelqu’un de blessé, mais je n’ai pas le choix ou plutôt ce choix est pris ; je veux y aller pour l’aider. Je crée des murs mentaux hermétiques autour de la demeure. La douleur est comme des vagues au bord de la mer, plus les vagues sont fortes plus elles ont de chances d’emporté l’esprit de la personne et donc d’entraîné la mort. Je sépare ainsi autant que possible les défenses que je monte de mon propre esprit. C’est une sorte de division mentale ; technique redécouverte et améliorée par mon père. L’architecture de sa pensée vacille sur ses bases et ceci malgré les protections qui ont été mises autour. Pas bon ! Ce qui n’aide pas, c’est un adolescent ; un esprit en construction. Un enfant crée sa personnalité sur les bases des connaissance de la moral, de l’éthique qu’il reçoit et intègre. Les clés de voute de son âme résistent au souffle chaotiques de la douleur. Je forme quelques remblais mentales pour protégé son esprit de la souffrance physique. C’est comme mettre des étais dans une maison pour empêcher l’écoulement de la maison. Puis je cherche le nexus de son esprit. Je m’y approche doucement c’est le centre d’une grande salle ou le béton est nue. Sans peinture, sans couleur excepté le gris naturel de la matière. C’est un grand sentiment de tristesse entrecoupé du rouge bordeaux rouille des fer à béton, signe d’une colère qui est encore enfui mais qui ne demande qu’à sortir. Je travaille sur le sol. Je dois y aller. L’esprit de Jonathan ne résiste que très peu. Il me laisse aller où il n’a pas vu ma présence. En centre de la pièce, je me concentre, je dois descendre. Je veux une trappe et une échelle. La trappe sera bloquée par une plaque en fer lourde aux solides charnières de fer ouvragé. Sous la poignée aux fins arabesques, il y a aura une serrure au mécanisme complexe, huit points d’encrages permettront de verrouillé la descente. La clé sera solide compliquée et elle est dans ma main. J’ouvre la trappe admirant un instant mon travail mentale. Je trouve le passage petit, mais je ne veux pas faire le minimum de modifications dans l’esprit de Jonathan. Je descends l’échelle puis je verrouille la trappe avec la clé. Magnifique la serrure est même de l’autre côté de la trappe et c’est du solide. Je ressens les protections de l’esprit cachée dans le noir intense qui m’entoure pendant la descente. Je ne vue pas de lumière pour ne pas attirer l’attention sur mon passage.
Soudain à ma grande surprise, l’échelle disparait et je tombe. Pas de panique, je reste calme et en avant. C’est souvent du a une rupture de la ligne directive des rêves de l’esprit. L’esprit est entré dans une phase tellement profonde de repli sur lui que l’architecture de son esprit à suivi la même voie. Le seul endroit où il y a un rêve ou une éthérisation de sa pensée ; c’est le nexus de l’âme.
Check list en cas de chute onirique dans un esprit :
Concentration … ok
Visualisation … ok … un toboggan pour ralentir
Création … PAS ok …
Création … Pas ok …
Créa… PAF

Je viens de franchir avec beaucoup de violence une autre partie des défense de Jonathan qui je suis surpris de la puissance malgré son état de catatonie dû à la blessure. Dans ce genre de cas, une personne normal est aussi protégé d’un château fort après le passage d’Attila et de son armée.

Je viens d’atterrir dans une grande église gothique, sur mes pieds et sans blessures . je suis dans la chaire . bizarrement elle est à droite. Cela peut venir de l’effet de Freud. Dans les rêves, une symétrie totale gauche / droite est souvent crée, même si les rêveurs ne font que peu attention à la chose. Mais cela peut venir aussi si le rêve est manipulé par la volonté du manipulateur dans un but de déstabiliser sa cible. Cela marche bien avec des personnes qui ont un haut niveau de conscience dans les rêves. pour cela je déploie mes défenses mentales au maximum, ne gardant qu’un porte ouverte vers Jonathan. Il y a des flammes dans l’édifice et des ombres qui dansent. Il semble qu’il a y un mouvement de boucle dans les flammes et les ombre. Les mouvements des ombres et les lueurs en bouclent me font penser à une danse sur de la musique électro.
Il y a Jonathan cachée dans la chaire. Il semble apeuré par ce qu’il y a dans l’église .Il se cache dessous la balustrade de la chaire. Je me colle contre lui et je cherche de le calmer. Je tente de l’englobé dans mes défenses, de le rassurer, je lui dis que je suis présent, je lui dis qu’il ne doit pas avoir peur, que je suis un adulte mais que je suis pour aider l’humanité. Et pour moi, commencer à aider l’humanité c’est aider : lui. Je lui dis que je vais tout faire pour rester avec lui. Je lui dis que je vais le protéger. Il y a une zone d’aspiration noire et ténébreuse à la place de l’hôtel dans le chœur. Une de ces zone que je ne peux franchir dans les rêves. Je me dis qu’avec l’aide de Jonathan je peux le faire. Je replace mes défense de façon à les utiliser pour deux. Je les trouve instables car je n’ai qu’un faible synchronisation entre Jonathan et moi. On avance dans l’église les ombres continuent la danse. Des ombres tangibles sortent des flammes cela ressemblent à des hommes. Je crée une barrière à travers l’édifice me servant des éléments présents ; flamme homme pierre. Mais l’un des assilants la brise sans aucun problème. Un combat débute ou mon manque de technique et de manipulations de rêves en simulation de stress, se fait vite ressentir. Il y a de l’autre côté une personne qui maitrise les rêves. un autre marcheur des Rêves. J’arrive juste avant de me faire engloutir par une ombre au sol de me concentrer sur les poings de Jonathan. Je les rend lumineux d’une puissance égale au soutien que je vous lui fournir. Juste avant de perdre vue sur ce qui se passe, je vois Jonathan massacrer une ombre et me dire. «J’ai compris et je te rejoins au plus vite ».

Je me réveille en sueur à coté de Jonathan. Je remets mon pendentif sous ma chemise. Les heures suivantes me semblent floues… course poursuites la montagnes et des couloirs l’arrivée dans une salle. Couverte de pilier en cercle. Combat contre des créateurs transparentes dévoreuses de vie. Je commence à reprendre mes esprits quand on est au centre et au plus bas de la construction troglodyte. Jonathan qui paraît apaisé et toujours inconscient du fait de ses blessures.

Session

Les créatures comment à se déplacer. Là c’est une explosion de moyens pour survivre. Mur de feu suivi d’un magnifique Mur de glace de Ména utilisant la puissance d’un sort de l’adversaire humaine présent. Un allemand forte grande gueule. Fusillade de la part du patron et de Vladimir. Paralysie de monstre, aide d’astronomie et protection d’Ibrahim pour moi. C’est jack qui a éliminé le mec en réussissant un splendide 2000mètres en montée d’escalier avec esquive de monstre et saut de l’ange avec méchant dans le vide avec réception sur le messieur à l’atterrissage. 10 sur 10 du juge anglais et les félicitations du jury.

La bataille fut finit, quand Ibrahim eu repris le pouvoir sur les monstres. Le pouvoir de la cité. Tous les monstres ont disparus dans une tempête de sable absorbé par un Ibrahim métamorphosé en créature humanoïde à la peau de parchemin. Luc gise à terre. Dans un élan de courage et de désintérêt marqué, je me lance à la poursuite de son esprit. Il descend comme une étoile filante à travers les strates des rêves, franchi la frontière avec les Terres de Chasse comme si elles existaient pas. Il entre dans une sphère d’ombre et dans les remous qu’il forme derrière en y entrant, je passe dedans. Mon moi onirique se dissout un instant de l’éternité avant de réussir à reprendre une forme stable. Là je suis sur une forêt , j’avance dans la direction ou je ressent l’esprit de Luc. Je finis à la lisière de sable fin. Là, je trouve Luc un cocktail à la main accompagnée d’une personnes âgée qui me dit que si je mets un pied sur la plage de devrait subir la loi du Styx. Ä la Loi du Styx, c’est le nom du quatrième chapitre du livre que j’ai eu pour apprend le spiritisme. Intéressant ! je tendis la main à Luc pour lui proposer de remonter à la surface de la réalité matérielle. Il l’a pris et comme des bulle d’air dans l’eau nous avons commencé à retraverser les strates des mondes oniriques. Quitter le domaine de la mort, les bord du Styx, traverser les Terres de chasse, royaumes des esprits et des divinités. Passer les Mondes Oniriques. Le retour dans la réalité fut violent. J’ai eu l’impression de revenir à la vie. Et j’ai trouvé mon corps raide, dur à faire ce que je lui disait. Ibrahim avait du parler avec les autres pendant mon absence. Il enferma l’esprit de l’allemand dans l’anneau qui utilisait pour contrôler les créatures du désert. Et me donna la bague. Il dit qu’il devait rester ici pour apprendre à contrôler ces pouvoirs. Que je pouvais le contacter par les rêves. A mon réveil, de nombreuses questions se collisionnent dans ma tête.

Est-ce-que mon Père a encore à voir avec l’ordre de l’aube dorée ?
Que sont réellement les événements de St Petersburg ?
C’est quoi l’agence ?
Quelles sont les buts de l’Agence ?
Quelles sont les buts de la branche rebelle de l’Agence ?
L’ordre de saint Georges, c’est quoi ?
Ils voulaient quoi à st Peterbourg ?
Quelles sont les buts de cette organisation ?
Et de nombreuses autres …
"Tout le monde tient le beau pour le beau,
c'est en cela que réside sa laideur.
Tout le monde tient le bien pour le bien,
c'est en cela que réside son mal."

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Re: extraits des Chroniques de Henry Alexander Crowley

Message par Chimel »

Je lis que l'intriguante famille Montjoie fait à nouveau parler d'elle... Superbe Romain!
En essayant continuellement on finit par réussir. Donc, plus ça rate, plus on a de chance que ça marche
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Darano
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Re: extraits des Chroniques de Henry Alexander Crowley

Message par Darano »

Mon Hommage à ta campagne du Bayon. :wink:
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