Les croques-mitaines ce cachent pour mourir....

Ouais sans blagues, ouais, et ça c'est le forum à Chimel ouais, C'EST QUOI MON NOM?

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Chimel
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Les croques-mitaines ce cachent pour mourir....

Message par Chimel »

Un choc d'une violence inouïe suivit immédiatement d'une intense douleur derrière le crâne. La tête, libérée un court instant roule dans la boue, l'oeil gauche, moins tuméfié, s'ouvre et ambrasse la scène. Depuis sa position, c'est une étendue chaotique, champs transformé en cloaque infernal par la pluie et l'aimable badinage de l'artillerie, baignée par une lueur rouge que coupe de temps en temps l'ombre d'un homme encore en marche. Ces silhouettes en mouvement ne ce hâtent plus, le temps du carnage est loin derrière... Pour ceux qui le peuvent encore, il faut maintenant regagner les positions de son camp, avant que les nettoyeurs arrivent. Ou, dans le cas contraire, rester conscient afin de pouvoir répondre lors de ce que les planton affecté à ce travail nomme l'Appel. En effet, il n'y a plus qu'une pensée qui hante ces héros tombés au champs d'honneur en sursit. Celle de ce retrouver parmis les morts, trahit par sa faiblesse. Emmener dans les fosses, sans espoir d'échapper au feu.

Le sergent Edmond Margret, étendu sur le dos, la joue dans la boue, maintenu au sol par la Chose accroupie sur son bassin ne songe pas un instand à cela. Pour lui, l'univers ce résume en une sarabande de chocs, douleur, puis vision de son entourage, selon de quel coté finit sa tête, suite à un coup porté par son agresseur.
Il entend l'ignoble cliquetit et sait que la séquence va ce répéter. Toujours pareille, depuis une éternité, lui semble-t-il. La main-machine ce saisit de son épaule, tracte le haut du corps, amenant son visage devant le faciés vaguement humain, hésitant entre un écorché et une ébauche de face faite de pistons, roues dentées et couroies. Une fois de plus, l'oeil du soldat croise celui du Simulacre. Edmond, plonge dans cet oeil écarquillé, cette moitié de chair rougeâtre crispée dans un sourire de mort.
Point de salut dans cet aperçus de l'enfer. Le bras libre de la créature repart en arrière, fermant le poing lentement, s'apprêtant à poursuivre son oeuvre.

Pourtant, la détonation, suivie d'un brusque soubressaut, rompant l'enchaînement temps répété, annonce au sergent Edmond Margret que la Camarde, encore une fois, ira moissonner d'autre que lui. L'oeil écarquillé, il regarde le filet de fumée trouvant sa source au niveau de la tempe du Monstre. Dans un lent basculement, il libère le soldat. Celui-ci tourne son oeil valide en direction de l'auteur de ce miracle, silouhette montée tenant dans les main un six coup de taille inabituelle.

Les pas de la monture amène le sauveur à la hauteur du soldat. Puis, rangeant son arme, il rompt le monotone babille de l'artillerie qui rythme la vie du sergent depuis si longtemps.

- Alors, sergent? Rude journée pas vrai? Un petit remontant?
Joignant geste et parole, le cavalier démonte et tend une flasque métallique en direction d'Edmond.
Le bourbon coule dans sa gorge comme un feu vivant, ramenant un peut de chaleur la ou il n'y avait que ténèbres et froid.
- Bon l'ami, j'ai à faire, rate pas l'appel, tiens l'coup, t'es un coriace hein?
Puis, après une tape sur le genoux, il s'en repart, silouhette disparaissant dans la brume rampante d'une canonade de plus en plus espacée...

Des silouhettes sortent de la brume, le pas hésitant, ce penchent sur les corps. Hissant ceux-ci dans une charettes, ceux-là sur des brancards... Le Sergent Magret tiens contre lui la flasque d'or liquide. De temps à autre la brume retentit de son Appel...
En essayant continuellement on finit par réussir. Donc, plus ça rate, plus on a de chance que ça marche
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Re: Les croques-mitaines ce cachent pour mourir....

Message par Dr Nemrod »

très très chouette...

Est ce que ça annonce le début d'un scénario?
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Darano
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Re: Les croques-mitaines ce cachent pour mourir....

Message par Darano »

Je rempile pour un tour dans le farwest.
"Tout le monde tient le beau pour le beau,
c'est en cela que réside sa laideur.
Tout le monde tient le bien pour le bien,
c'est en cela que réside son mal."

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Chimel
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Re: Les croques-mitaines ce cachent pour mourir....

Message par Chimel »

Dr Nemrod a écrit :très très chouette...
Est ce que ça annonce le début d'un scénario?
Il s'agit du début d'une série de textes de travail. Ceux-ci on pour but de définir le style narratif que je compte utiliser dans ma prochaine campagne de Deadlands.
Je me suis lancé quelques défis personnels afin de pimenter l'exercice décriture de la dite campagne: Sortir complétement du contexte habituel de Deadlands. Traîter avec vraissemblance une guerre de sécessioin qui dure depuis treize ans de trops. Et enfin choisir un auteur contemporain à cette époque pour la couleur et le style narratif.

Ce texte, et ceux à venir sont des sortent d'instantannés de ce travail.
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Chimel
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Caporal Samuel Johnson

Message par Chimel »

La course saccadée du fuyard l'amène à plonger dans un fourré. Sur la gauche une cavalcade et des jurons, en face une tourbière de plus en plus fongueuse comme on peut en voir dans la région. Le printemps à été plus que gris, le terrain sera traître. Dissimulé derrière une touffe de joncs, étendu dans une légère dépression que forme le sol meuble, le caporal reprend un peut de son souffle. Dans la touffeur ambiante, impossible d'identifier la distance et la provenance des bruits. Il connait le magnanime traitement attendant l'espion: La pendaison par suffocation, ou si les officiers sont d'humeur expéditive, il ne faudra pas plus qu'une dizaine de fusillés et un sabre au clair pour régler le cas de Samuel Johnson.
Voici ce qui occupe les pensées de l'espion alors qu'une compagnie toute entière lui donne la chasse avec passion. Cet enthousiasme n'est pas que dût au plaisir du chasseur traquant un nuisible dangereux. Non, il s'agit aussi pour ces hommes de sortir de l'enfer stratégique dans lequel les généraux confédérés ce sont enfoncés avec constance depuis la débâcle de fort LaRoche. En effet, les huiles sudistes ont décrétés que la grande offensive est pour aujourd'hui. Il faudra donc à la piétaille traverser un bourbier ou la moindre embuscade, la moindre batterie d'artillerie transformerait les infortunés en engrais pour le marais. Les survivant sortiront a découvert et prendront la bleusaille à revers. Sauf si le caporal Johnson arrive a retrouver ses lignes.
La dangereuse digression de l'homme est brusquement interrompue part un lourd silence dans la tourbière. Le sous bois ne résonne plus que des appels des hommes en chasse, du cliquettement de leurs attirail. La symphonie naturelle c'est tue. Une chape de silence a transformé ce lieu de vie exubérante en un cimetière végétal. Les poursuivants aussi cessent de s'appeler. Tous retiennent leurs souffle.
Jusqu'au premier coup de feu. Soudain, la fondrière ce transforme en champs de bataille où le vrombissement des balles comme autant d'insectes porteurs de mort s'accompagnent d'impacts, d'esquilles de branches pulvérisés. Dans cette symphonie de mort, les hommes donnent de la voix. Certains hurlent leur position, d'autres aboient des ordres.
Samuel est recroquevillé au sein de sa cachette, encercler par cet enfer déchainé. Puis, rapidement, les officiers reprennent le contrôle de leur troupe. On entends des râles, les hommes s'appels, les voix vibres sous la peur et la décharge d'excitation du combat.
- Là bas j'vous dit, vers le bras d'eau, ça a bougé!
- Moi j'lai vu au sud, une silhouette qui c'est cachée derrière les cyprès.
- Silence soldat! On ce compte! et en reprend le déploiement!
Dans le silence moite et pesant, on s'appel, le caporal comprend que des hommes manquent. On s'agite non loin, des prénom son criés, un râle leur répond. Eclaboussure, appel à l'aide, cris de stupeur puis à nouveau le silence.
Alors, le marais ce met à hurler, une onde gutturale grave, au limite de l'audible qui semble venir de partout à la fois. Les fusils confédérés lui répondent de manière désordonnée. S'engage alors une lutte ou il n'y a que confusion, grognement et suppliques hystériques. Le fuyard, les tripes tordues par une peur primal, comprend que la compagnie sécessionniste est engagée contre quelque chose d'une certaines taille, si il en croit les bruit de bois brisé. Les sudiste ce battent pour survivre, la clameur du combat ce transforme en hymne à la débâcle.
Le caporal Samuel Johnson comprend qu'il n'y aura pas de seconde chance, il s'élance dans l'enfer de cris et de balles. Il court, courbé en deux, enjambant des corps transformé en quartiers de viande par équarrisseur devenu fou...

La tente d'état major et éclaboussée des derniers pourpres du jour agonisant. Le soldat ce tiens devant son chef. A l'arrière plan, au fond de la tente, il distingue le reste de l'état major. Ceux-ci, assis sur des sièges de campagne, contemplent l'homme au travers la fumée de leur cigare. Une table couverte de cartes complète le mobilier. Devant lui, finissant de lui rendre son salut, ce tiens le Colonel Martis Montcygne. Brillant officier aux yeux bleu glacier qui, raide, devant ces supérieurs, adresse au sergent un étrange regard de connivence.
- Au rapport soldat!
- La fondrière ne présente pas une menace, colonel. Il n'y a rien là bas, à part la mort.
- Merci, soldat, allez dormir, si vous y arrivez...
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Ethan
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Re: Les croques-mitaines ce cachent pour mourir....

Message par Ethan »

c'est bien joli tout ça, mais ça fait pas sortir les devilbatgardiennedetrésors caché dans leur tanières.. de plus, une tète de sudiste ça fait old school au dessus de la cheminée et pour finir le tout l'uniforme est affreux, au moins les français ont un peu plus de gout !
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Chimel
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Re: Les croques-mitaines ce cachent pour mourir....

Message par Chimel »

De Aikau...

Un petit teaser

Un matin ordinaire (divagations)

Une autre Amérique

Une autre année 1868

Une autre Guerre de Sécession



C’était un matin ordinaire pour le caporal John Dunba. Le café ordinaire était mauvais, l’ordinaire de la cantine était mauvais, les nouvelles bottes promises restaient un rêve, le tabac restait mal séché. Les cadavres jonchaient la plaine. Une routine décevante, bien loin des rêves de gloires dont le recruteur lui avait farci la tête lors de son enrôlement. John ne se souvenait plus guère d’avant. Ou plutôt, il n’était plus très sûr de s’en souvenir. Était-ce un rêve ? Avait-il eu une vie avant ? Bien sûr qu’il avait eu une vie avant, mais laquelle ? Tout cela était trop compliqué, demandait trop d’effort. Et puis, à quoi bon, après tout ?



L’habitude soutenait John, comme une entêtante ritournelle. Le pilonnage de l’artillerie avait cessé depuis dix minutes. Les assauts avaient commencé depuis peu, vagues hurlantes de soldats indistincts chargeant au travers des barbelés, au milieu des corps pourrissants, devant les rafales de mitrailleuses gatling 3K. Dans deux ou trois heures, les survivants rentreront, comme d’habitude. Ils croiseront leurs adversaires sur le chemin du retour. Certains se salueront, quelques jeunes recrues tireront encore mais la plupart seront trop hébétés pour faire faire autre chose que poser un pied devant l’autre, encore et encore, jusqu’à se retrouver derrière ses propres lignes. On entendra les cris, les râles, les suppliques des blessés hurlant qu’on vienne les sauver pour les plus sots, criant qu’on les achève pour les plus résignés. Personne ne va plus chercher les blessés depuis longtemps. Quand un soldat est trop durement touché pour retourner seul dans son camp, c’est qu’il est trop durement touché pour continuer à sa battre. Pourquoi risquer sa vie pour lui ? Les tireurs n’attendent que ça, leurs fusils à lunettes entrant en action dès le retour de leurs propres soldats. Au début ils tiraient tout de suite, mais ils touchaient autant leurs camarades que leurs ennemis en raison des uniformes rendus méconnaissables, maculés de boue et d’un sang absurdement semblable dans les deux camps. Alors, comme d’habitude, on entendra les gémissements. Forts au début puis de plus en plus faibles, puis plus rien, jusqu’au lendemain. Et puis, ça recommencera, comme d’habitude. Encore et encore, jusqu’à la fin des temps.
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Ordonnance Tobias Letton

Message par Chimel »

Croiser la haine, jours après jours, heures après heures. Chaque mots, actes ou postures, comme autant de possibilités de voir l'épée d'Amocless tomber. Par moment, l'ordonnance Letton appel de ces voeux le retour au sein de la Troupe, ou tout est tellement plus simple. Tuer, être tué....

Puis, avec une expiration, reprend la pause, dos droit, regard porté au delà de cette petite pièce, oreilles insensible à la rumeur besogneuse, rythmique, moite et obscène provenant de la cloison si proche. Dans un ahanemment grotesque, perçut comme la fin d'une longue attente, la sarabande prend fin. Après quelques instant la, porte de la chambre s'ouvre sur une frimousse jeune, rousse et échevelée, le regard d'Agathe, froid, clinique, mort rencontre celui de Tobias, un imperceptible hochement de tête et la putain, la majorité de ses artifices textiles dans les bras, passe devant l'ordonnance qui lui tiens la porte no 21 de la petite suite. L'apparition disparaît dans le couloir alors qu'un homme, racé, de ceux aux ongles manicurés, passe ces bretelles dans la petite chambres jouxtens l'anti-chambre.
- Quelle insipide petite dinde, mais quel bonheur de la farcir... Qu'en pensez vous, jeune homme?
- Monsieur? Rien, monsieur!
- Je m'en doutait, petit dandy... J'imagine que les chochottes poudrées de Tombstonne vous manques? A moins que vous fassiez dans l'indigène?

Le regard n'a pas dévié depuis le départ de la fille. La suite de provocations devrait encore durer un peut, puis, comme à l'accoutumée, la lassitude aura raison de l'huile, Il n'y aura plus qu'à reconduire le Lieutenant Général Luke Dalle en fourgon vapeur jusqu'à à sa tente. Ensuite assister, témoins au regard perdu au loin, à l'odieux spectacle de l'indifférence du gradé face au décompte, au total abominable livré par les plantons.

La fumée de cigares, délicat rappel des mondes, improbables conjonctions de classes amenées à ce côtoyés par le funeste jeux de la guerre, dessine de paresseux volutes qui permettent à l'ordonnance Letton de distraire son esprit du monstrueux conte dans lequel il ce trouve. Il imagine autant de Chimères vengeresses, prenant corps dans l'espace confiné de la tente, et à la lueur des lampes, reproduire avec une aimable symétrie le massacre du jour, que seul les petites gens de la Troupe on vécut jusqu'au bout.

- Letton? Letton! Enfin, vous voici de retour par mis nous!
- Général! Mon Général!
- Bon bon bon, dites moi, quoi de neuf du coté des Zouaves volontaire du 17e New York Tierce?
- Mon Général, il veulent manger de la tunique grise mon Général!
- Les voilà, mes braves petit gars!! Bon Letton, vous prenez ces documents, vous me les remettez au Major du 2e de cavalerie, Charles Nevilson. Puis vous serez à son service jusqu'à l'Appel de demain et vous me rapporterez.
L'ordonnance quitte la tente, peuplée de ces élites devisant avec savoir vivre des boucheries à venir...

La nuit est tombées depuis quelques temps. Les ténèbres, lourdes d'une menace indistinctes sont un court instant pourfendue par le glaive d'un projecteur à arc, pointés vers les cieux torturés.
L'uniforme de Tobias et couvert de scories noires, tout comme une partie de son visage. Une auréoles brune orne le devant de sa chemise dépenaillée. Pourtant, il ce tient droit. Les yeux fixes ceux, impassibles, du trois étoiles. La tente est vidées de ses habituels et distingués occupant. Seul le Loup Gris est a sa place, scrutant le jeune homme.

- Je vous écoutes, Letton.
- Mon général, 2 dirigeables, peint en gris, on les a vus seulement quand ils sont passé au dessous de la brume, ils avaient des canons et des gatlings à vapeur. Dans la confusion, j'ai pris sur moi d'organiser la riposte, tous les officier étant à terre mon général.
- Comment vous êtes-vous retrouvé au niveau des batteries et surtout comment diable le carré de commandement ouest a-t-il été percuté par cet aéronef?
- Mon général, lorsque ces monstres sont sortit des nuages, ça été une sacrée panique. J'ai donc tenté d'y voir plus clair en montant du coté des batteries et là tous c'est enchaîné, mon général.

- Je comprend Letton, je comprend, vous serez donc dans mon état major jusqu'à ce que Lieutenant Général soit complètement sur pied. Vous assumerez le rôle qui était dévolu à Dalle pour les colis sensible à emmener en ville.
- Mon général, compris mon général.

L'ordonnance Letton rend un salut impeccable. En sortant, il croise le major Nevilson, leurs regards ce rencontrent, bref connivence de conjurés jouissants en silence du fruit de leur entreprise...
En essayant continuellement on finit par réussir. Donc, plus ça rate, plus on a de chance que ça marche
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