Pensées

Chroniques de ce nouvel Univers

Modérateurs : Khazou, Matth

Miroir
Larme
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Pensées

Message par Miroir »

Intéressant comment les choses ont tourné, d'un village de bûcherons sous la menace de bandits àune menace à grande échelle d'un fanatique religieux, et d'une errence de plusieurs années dans l'isolement à une vie en communauté.
Le fait de partager mon quotidien avec des gens alors que j'ai évité tout contact prolongé depuis les dernières décennies est déconcertant. J'essaye de garder les distances en évitant toute question sérieuse et en m'isolant du reste en prétextant recherches à accomplir ou besoins de calme. Et ça marche. La Hutte m'ignore, Johann me prend pour un tête en l'air et j'agace Calliope à la première occasion. Arisylis s'avère la compagnie la plus plaisante car on évite toute thématique sérieuse et son amie Olendiel a toujours des affaires plus urgentes à régler. Que du bonheur donc !

Préserver les apparences est devenu de plus en plus difficile. L'intervention de Lyssandros Nephes affirmant nous connaître tous autant que nous étions n'était pas prévu. J'ai eu de la chance que son attention ne soit pas tombé sur moi, mais sur notre cher combattante qui a eu son identité révélé, nous avons donc une deuxième Gwen dans la troupe.

En attendant ma couverture n'étant pas détruite je continue à répondre au nom donné à Valline.

Autrement enfin un grimoire correct récupéré sur un sbire de Lyssandros, j'avais du me débrouiller depuis l'incendie avec de maigres notes pour ne pas éveiller de soupçons. Malheureusement dans le feu de l'action (autant propre que figuré) il a été endommagé. Deux leçons donc : la première de faire attention aux biens matériels et la deuxième que les robes de mages ne servent qu'à donner des informations. Autant garder une tenue sobre qu'une tenue révélant les forces et faiblesses.


Syria : Nos pas nous mènent donc à la capitale. J'ai tout fait pour éviter les lieux publics durant ces dernières années, et nous voilà présentés à la cour royale. Étiquette, vêtements de fonction, courtoisie, tant d'éléments qui ne m'ont pas manqué et qui ne sont que des fioritures sans importances. Nous sommes présentés comme les héros de Sterne, mais pas individuellement... Au moins la reine nous épargne cela.
Mais comme je le sais si bien, ce n'est pas à la lumière du jour que les affaires importantes prennent lieu, en l’occurrence le cabinet de la reine. L'entretien est bref est concis : elle veux que nous infiltrions la cité universitaire afin d'en savoir plus sur le réseau de circulation du Sable sanglant. Les formulaires remplis au préalable, Firkash'ae Throreth, étudiant de première année.

Ses services de renseignement ont fait du bon travail, je ne pensais pas qu'ils réussiraient à m'identifier comme un membre de la maison Throreth. Cependant les ramifications de cette dernière étant nombreuse, je ne crois pas qu'elle sache qui je suis vraiment. Et si c'est le cas elle me fait les honneurs de ne pas le révéler publiquement. Personne ne doit savoir. Je ne veux pas prendre de risques qu'Il me retrouve avant que le moment ne se présente.

Raison de plus pour laisser de côté la magie pendant cette mission, il va nous falloir être rapide, efficace et discret, je veux quitter la ville le plus rapidement possible et j'espère que mes compagnons pensent de même.
Miroir
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Re: Pensées

Message par Miroir »

Après l'affaire de l'université et notre prise de conscience de la menace daémonique, nous nous sommes rendus à Niden pour profiter du carnava... pardon, du rassemblement des bardes du pays pour faire passer l'information. Sauf qu'en prolongeant notre séjour nous avons été témoin de manifestations étranges affectant les elfes et les nains de la ville, une magie ancestrale ayant un echo à travers le temps. Temps que nous avons dû connaitre physiquement pour régler le problème.
Notre retour à la réalité s'est faite à mon grand damne sous les feux de la rampe. Bien que notre diva s'en délecte toujours à la limite de la nausée, se targuer d'avoir défait un ennemi que nous savons encore actif et dangereux relève de l'inconscience.
La parenthèse temporelle s'étant soldée par la découverte d'un complot daémonique ayant mené à la guerre entre les elfes et les nains. Un ennemi commun trouvé, la générale Amalia et les dirigeants nains ont pu formé une alliance pour éliminer les infiltrés dans l'armée assiégeante et mettre fin à ce conflit.
Je garderai de ce voyage inattendu une véléité nouvelle à suivre les plans d'Olendiel me mettant en première ligne. Quitte à ce que cela nous retombe dessus autant que ce ne soit pas moi le premier à subir.
Bref, je suis bien content de mettre cette expérience derrière moi et c'est avec une satisfaction renouvelée que je me réjouis de passer une nuit dans un lit confortable, sans surveillance militaire ni rations de guerre, de laisser Gwen voler sans peur de la voir cribler de flèches sous couvert d'intercepter des messages d'espions.

Sauf que comme toujours, le réveil est toujours difficile. Notre cher Lysandros serait venu pendant mon sommeil pour comme à son habitude parader et montrer que dans son plan à long terme nous n'aurions rien changé et nous annonçant que dans la course à l'apocalypse il tient à ce que ce soit son cavalier qui l'emporte, une course où les différents concurrents ne se font pas de cadeau. Nous informant des intentions de son rival, voulant provoquer l'éruption d'un volcan à plusieurs jours d'ici en pleine mer, il espère qu'en tant que défenseurs de la veuve et de l'orphelin nous irons derechef informer et organiser l'évacuation de la côte. Et encore plus agaçant il est dans le vrai et nous allons encore une fois suivre ses désires Le groupe se répartissant les différentes instances de la ville, ironiquement je me charge des temples et à mon habitude suis incompris par ces prêtres bornés. Oui je sais que les suiveurs de Garlan sont plus nombreux, ont plus de moyens et sont plus préoccupés du bien être de leurs ouailles. Oui je sais que les informer serait plus judicieux dans le but de propager l'ordre d'évacuation imminent. Sauf qu'en informant les suiveurs du dieu de la stratégie militaire je m'attends à ce qu'ils puissent organiser une évacuation sans effets de panique et limitant le risque que Lysandros en tire profit. Mais non, ces bornés me redirigent vers le temple de Garlan qui avant même que j'ai fini de développer les tenants et les aboutissants lance une évacuation immédiate. Consternant.
Je finis ma journée au temple de Seith où d'après notre accord j'ai accès au grimoire récupéré auprès des adorateurs de Charon. À défaut d'avoir accès à des ouvrages détaillés sur mon école de prédilection je me rabats sur ce grimoire de nécromancie.
Olendiel vient me prévenir que Calliope s'est débrouillé pour séduire un soi-disant corsaire prêt à nous conduire à notre destination. Moyennant paiement. Et en tant que membre d'équipage. Voilà qui tombe à pic. À Pic du dragon pour être exact. À une semaine de navigation.

Nous voici donc fiers corsaires Ankenites. Temporairement cela va de soi. Nos assignations nous sont données, et je me retrouve à la réparation des voiles. Mon instructeur me montre les voiles à réparer lors de mon quart. Avec un soupir, j'incante des vulgaires sorts de réparation et les voilà comme neuves. Le regard amusé de mon compagnon se teinte d'incompréhension lorsque je sors une dague pour rompre la voile, puis d'intérêt lorsque je lui demande de m'apprendre à les réparer comme il avait commencé à le faire. Mon but était de lui montrer que je sais remplir la tâche qui m'est donnée, et donc que mon apprentissage ne gênera pas la complétion de celle-ci. Penser que la magie est la réponse à tout en toutes circonstances est une illusion. Autant apprendre à s'en passer pour des trivialités.

Les obstacles se succèdent durant notre voyage. Une connaissance de notre capitaine, puis des habitants locaux et leur animal de compagnie. Ce dernier affrontement ayant divisé l'équipage et en partie notre groupe. Il faut dire qu'Ary a jeté un froid (ou plutôt un chaud) après que l'équipage ait envisagé de nous jeter par dessus bord pour sauver leur bateau. Sans l'intervention d'Olendiel l'affrontement aurait pris une tournure moins noble et héroïque, je me demande à quelle point Calliope aurait distordu les faits pour la faire passer comme héroïque. Et comment est-ce qu'elle compte inclure son nouvel ami le calmar charmé dans son récit.
Bref, alors qu'après l'affrontement je me suis permis d'une menace implicite en rameutant mes élémentaires déployés, Ary a jugé bon de l'expliciter. Nous atteignons notre destination suffisamment vite pour que la tension n'atteigne pas de point critique, mais nous ne sommes pas sûr qu'un bateau nous attende pour le trajet de retour.
Pour détendre l'atmosphère elle décide de nommer son nouvel ami Firkash'ae. Si elle savait que le principal intéressé n'en saura probablement rien de son vivant elle se serait gardée de ce genre de commentaires, mais c'est presque naturellement que je lui jette mon fameux regard de consternation que je luis réserve.

Cette montagne de roche volcanique paraît de loin et de près comme inaccessible. Après une ascension difficile et une descente dans le cratère en rappel puis par magie, nous atteignons une porte magiquement protégée. J'ai beau ironiser et critiquer les choix d'Olendiel, je ne peux nier son utilité au sein du groupe. Son intérêt pour révéler les secrets de Bratinoc fait écho au mien.
La descente se poursuit pendant un durée qui me semble interminable. Mis à part observer les galeries monotones et entendre les monologues sans intérêts de Calliope assortis aux grognements périodiques de Lahutte. Je suppose que mieux vaut ça que Ary et Olendiel exterminant une patrouille, ou plutôt devrais-je dire "luttant vaillamment contre des suppôts de la tyrannie" à en entendre la troisième instigatrice.
Bref, au bout d'une longue descente nous débouchons sur une salle circulaire, un puits central en son centre d'où proviennent psalmodies et incantations. Un rapide coup d’œil nous révèle qu'en contre-bas, à plusieurs kilomètres de là non seulement nos chers adversaires sont déjà sur les lieux, mais qu'ils sont là en nombre et qu'un portail d'où émergent périodiquement des volées de cacodaémon s'y échappent périodiquement.

Une rapide inspection des galeries débouchant sur la salle permets d'exclure une porte de toute investigation supplémentaire, tant elle radie de pièges magiques à l'encontre de fouineurs potentiels. Aux trois autres galeries s'en rajoute une quatrième secrète, renfermant une bibliothèque. Écrit ou annotés principalement en draconique. Alors que Calliope semble soudainement intéressée pour un traité sur les roches magmatique un livre capte mon attention que je m'empare sur le champ. À première vu cet ouvrage traite sur les différentes races
L'hypothèse comme quoi le pic ferait honneur à son nom est de plus en plus vraisemblable. Au vu du passé de notre groupe vis à vis des dragons, j'espère que le maître des lieux jugera que l'intrusion des daémons sera jugée comme plus grave à ses yeux.
Une seule des ouvertures semble plonger dans les profondeurs, c'est donc naturellement que nous l'empruntons.

Marcher devient de plus en plus difficile avec l'augmentation de la température. Le fait que nos ennemis soit déjà sur les lieux nous a fait comprendre la gravité de la situation et l'ambiance décontractée habituelle s'en ressent. Ça et le fait que cette longue descente commence à me faire mal au jambes. Mais bien entendu c'est accessoire.
Après un moment une salle se dessine devant nous, et après une rapide et discrète inspection un comité d'accueil semble nous y attendre, une volée de ses saletés volantes mais également d'une créature physiquement humanoïde à la peau noire et sans complexes ni vêtements qui ne semble pourtant pas gênée par la proximité de fontaines à magma qui radient une chaleur insoutenable. Après consultation de mon nouvel ouvrage je n'ai pas de mal à affirmer qu'il s'agit de troupes de chocs abbadoniques chargés de superviser des opérations de plus grande envergure. Nous planifions contrairement à notre habitude un plan d'attaque rapidement et sans accroches nous venons à bout des cacodaémons. Néanmoins leur commandant nous échappe en se téléportant à la dernière minute. Si nous n'avions pas encore été découverts, nous le savons à présent.
De l'autre côté de la pièce des escaliers toujours en descente nous attendent. Retourner au bateau va s'avérer une épreuve bien plus contraignante sur le plan physique...
Nous atteignons la grande salle que nous voyons depuis la salle circulaire. Pas d'ennemis à portés, ils sont tous au bas de celle-ci attendant que nous descendions pour profiter de leur supériorité numérique.
Après inspection du dit portail, nous nous rendons compte que si un portail est déjà actif c'est un deuxième de dimensions plus importantes que les ritualistes tentent de créer.
Et c'est alors que nos discussions habituels reprennent propres aux situations épineuses. Oui il y a portail. Non nous ne savons pas comment le fermer. Oui il faudrait se rendre de l'autre côté pour fermer les deux portails. Non je n'ai pas envie de descendre la colonne, traverser les milliers d'ennemis puis passer de l'autre côté pour tenter de le fermer sans possibilité de retour. Oui je peux invoquer un archon qui pourrait faire ça à ma place. Non je ne crois pas que j'arrive à le convaincre de se sacrifier pour le plus grand bien. Oui techniquement des archons pourraient nous convoquer depuis leur plan si nous nous rendons en abaddon pour nous tirer de là. Non je n'ai toujours pas envie de m'y rendre et je ne suis pas la logique de ton plan Olendiel. Etc...

Alors que nous continuons de débattre de théorie des plans de plans hautement hypothétiques et sûrement voués à l'échec, Johann, Lahutte et Calliope indiquent que quittent à perdre du temps autant explorer les autres couloirs que nous avons laissé de côté à la salle circulaire. Ary propose de creuser un tunnel au sein de la colonne sur la verticale pour ensuite permettre de nous rendre sur la plate forme des ritualistes toujours invisible et sous-terre. Vu que la tâche ne peut être accomplie que par elle seule je décide de laisser à mes compagnons elfes Gwen dans le cas où ils voudraient me joindre.
La remontée s'avère pénible pour mes jambes et je sens que je vais avoir mal aux jambes ces prochains jours. Nous sommes rapidement rejoins par Olendiel et nous explorons un premier tunnel où après quelques mètres nous apercevons plusieurs portes, enchantées pour libérer un message en cas d'ouverture. Après délibération nous ouvrons une porte, nous souhaitant de manière tonitruante la bienvenue chez Malakyr le Pyroclaste, seul titre de la longue tirade s'en prenant violemment à mes tympan que je retiens. Une rapide inspection de la pièce qui s'avère être les appartements personnels du dragon vu la taille et la température émanant du lit. Sans vergogne Calliope commence le pillage de la penderie du maître des lieux et la fouille de son lit. Et ensuite elle s'étonne du fait que les dragons semblent avoir une dent contre le groupe.
Une deuxième pièce s'avère être un bureau richement orné mais ne présentant pas non plus de grand intérêt.

Le deuxième couloir mène aux quartiers d'invités où l'on remarque une cordon relié au mur, appelant un petit golem prenant en charge les invités. Lahutte décide d'interroger le golem pendant une dizaine de minutes et devant sa frustration face aux limitations de construction de l'automate je laisse échapper un sourire. Nous apprenons néanmoins que le maître des lieux ne réside pas actuellement, que cela va faire plus d'un siècle qu'il n'a pas posé les pieds ici et qu'en cas de destruction de sa personne son créateur en serait informé sur le champ. Alors que je la vois considérer la destruction du golem à l'ensemble de réponses limités, je lui demande de bien vouloir faire place à quelqu'un de plus qualifié qu'elle pour l'étudier.
Après un moment d'étude et de concentration, j'arrive à percevoir une manière d'utiliser et de manipuler ce lien informant son maître en cas de destruction pour envoyer un message. Je laisse les autres rédiger ce fameux message tandis que je m'apprette à l'expédier.
J'arque un sourcil quand je remarque que ce message est signé par les héros de Sterne, mais l'heure n'est pas aux bisbilles et j'envoie le message.

La réponse m'arrive quelques minutes plus tard sous forme d'un mal de tête aigu, que je reconnais comme une tentative de contact mental. J'accommode au mieux mon corps vu que la notion de durée dans ce genre de communication est souvent en décalage avec le temps réel pour ne pas avoir de crampes ou de courbatures à mon retour et fait confiance à mes compagnons pour qu'ils prennent soin de mon corps physique.
L'image mentale de mon interlocuteur s'avère être celle d'un dragon magmatique aux dimensions et sans doutes au pouvoir imposants qui commence par exiger que je me présente. Au vu de la signature du message je commence par me présenter comme un des héros de Sterne. Sauf qu'il ne semble pas intéressé par ça et exige que je me présente moi personnellement. Je jongle avec la situation en indiquant que l'on me connaît sous le nom de Firkash'ae ce qui semble lui convenir et confirme à son tour son identité. Il m'explique alors qu'il est au courant de la situation et partage notre dégoût et animosité envers ces fiélons et qu'il espère bien que nous arriverons à mettre fin à leur rituel. De plus le portail ouvert vers abaddon était au départ un portail personnel que nos ennemis ont détourné pour leurs sombres desseins, de quoi attiser sa colère et sa rage. Lorsque je lui pose la question comme quoi s'il était au courant de la situation pourquoi ne pas avoir envoyé lui-même un émissaire pour faire le ménage, et il me révèle que c 'est le cas et que cette personne faisait partie de notre groupe, il met fin à la communication en indiquant qu'il n'attendait que la fermeture du portail

Personne de sain d'esprit n'aurait jugé bon de confier une mission d'importance à la demi-elfe, je vois mal Lahutte prêter allégeance à un de ces êtres et quitte à confier quelque chose à Olendiel autant que ce ne soit pas une tâche complexe dont la solution ne soit pas évidente. Reste Ary, ce qui me semble peu raisonnable de part son instabilité et sa propension à régler tous ses problèmes dans les flammes.

C'est avec un mal de crâne séquelle de cet échange que je fais mon rapport à mes camarades, avant de redescendre dans la chambre magmatique où Ary vient de finir son tunnel. Et pour fermer ce fameux portail Olendiel réalise enfin que la chaine qui lui pend au cou n'étant autre qu'un collier d'antimagie, l'activer au milieu des ritualistes ne serait pas une mauvaise idée. Le plan se déroule sans accroche, le portail est fermé, Malakir ouvre son portail et accompagné d'une armée d'élémentaires de magma met fin à l'infestation des daémons.
Suite à quoi dans sa bonne humeur il décide de nous récompenser, contrairement à d'autre ayant pioché dans sa réserve de livre personnelle je demande l'autorisation de le garder, ce à quoi il ajoute un deuxième tomme cette fois orienté sur les élémentaires. Après quoi il propose de nous téléporter à Niden, une alternative agréable à la perspective de passer une autre semaine de navigation avec des marins qui ne veulent pas de nous sur leur bateau.
Avant de nous renvoyer, Malakir nous informe que si Niden était la cible de la Famine et de la Guerre, la Mort frappe chez Lahutte alors que Pestilence sévit à Dragonhaven.
Dragonhaven... J'espère que l'étude de mon nouveau livre me permettra de déterminer si tel un rire au destin un allié dans la course contre l'Apocalypse y réside ou alors si la recrudescence d'activité daémonique remonte à bien plus longtemps que ce que laissait supposer les récents événements.
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