Reécriture des notes du carnet noir d'Erik
Publié : ven. oct. 02, 2015 9:59 am
Voilà quelques moment de calme.
Erik décroche la poche de cuir qu'il a à la ceinture. Il la pose sur le bureau de campagne. il regarde qu'il est seul. Puis il va chercher dans son sac une boite en bois. L'odeur qui s'en dégage le rend nostalgique. elle sent le bois humide. Cela lui rappelle sa terre natale; Deepwood.
Il vide le contenant de la pochette sur le bureau. et en fait rapidement l'inventaire.
- un carnet de note noir
- un crayon à papier
- une pièce de 10 cents
- Trois monocles et leurs chaines.
- une petite clé
Il prend la clé et ouvre la boîte.
Une douce senteur d'herbes et de fleurs séchés lui arrache une larme qui perle dans le verre d'HENNIEZ brunâtre qui est sur le bureau.
Il sort une plume de rapace. Sa rencontre avec le premier indien hostile à l'homme blanc qu'il a rencontré lors des guerre de pacification. Le premier homme qu'il a tué. Le jour ou les indiens n'ont plus été ces êtres légendaires qu'il ne pouvait pas trouver dans la forêt de Deepwood mais de potentiels ennemis qu'il faut tuer. Il la pose sur la table.
Il prend une feuille de Papier pliée pour en former une enveloppe. il l'ouvre dedans trois fleurs séchées. les vestiges conservés d'un bouquet de fleurs. Il se souvient de cette après midi ou il s'était pris de gueule avec ces amis au sujet de sa recherche des indiens de Deepwood. Il se souvient d'avoir penser qu'ils étaient bêtes de plus penser à servir Opale que de chercher les indiens. les personnes qui connaissent plus sur Billyboy et la colline du pendu que les gens de la colonie. il s'était faché et avait décidé de partir pour une chasse. Il se croyait prêt pour réussir ou mourir. Erik était passé voir sa mère. Il avait discuté un peu avec. Il avait promis qu'il ferait attention. En sortant il avait pris des fleurs dans la jardinière de sa maman. Elle lui avait fait la réflexion qu'elle ne faisait pas pousser des fleurs pour les petite copines de son fils. Erik avait répondu que le pluriel n'est pas nécessaire. Sa Mère avait souri alors qu'il partait. Comme une tradition, elle lui avait rappelé que l'inventaire des carnets été faux à l'école. Cela faisant 12 ans que c'était le cas. Il avait répondu qu'il corrigerait le stock un de ces jours. Cela faisant 12 ans qu'il le disait. C'était leurs façons de ce dire entre une mère et son fils: Je t'aime. Il était passé voir Elisabeth, la fille d'un agriculteur qui s'était installé à Deepwood il y a quelques années. il tapa à la porte mais quand il vit Elisabeth accompagné de son père, il cacha les trois fleurs derrière son dos. Malaise de la situation, il bredouilla qu'il partait quelques jours et il venait demander s'il voulait qu'il leurs ramène quelques proies. Le père d'Elisabeth sourit répondant que ce sera gentil de sa part. Il ne croyait pas du tout que c'était la raison de la venue du Fils Paerson. Mais il fit comme. Il promit au père de revenir rapidement avec les prises, mais son regard était posé sur la fille et il se disait, si je reviens de ma traque, je te demande en mariage. Puis il partit. Le même soir, alors qu'il bivouaquait en foret il vient ses amis arrivé vers lui lui parlé de ce qui s'était passé avec Opale. Polder était venu les rejoindre et l'avait pousser à accompagner ses amis. Il n'avait pas tenu ses promesses. Il avait fait sécher les fleurs dans le carnet noir qu'il avait pris à sa mère. Et il n'avait pas pu les jeter. Tel une relique d'une promesse de vie qu'il n'aurait jamais.
Dedans la boite il y avait un ruban bleu, il appartenait à la première fille qu'il avait amener à la grande pierre plate au bord de la rivière. Elle l'avait oublier en partant tout les deux trop élus d'avoir cueilli la petite fleur de l'autre pour la première fois.
William l'avait trouver et avait dit qu'un intrus était venue. Erik avait dit qu'il allait pister la trace et il avait pris le ruban à William. Il n'avait pas osé rendre le ruban à la fille car ses parents lui avait interdit de revoir leur fille. le Père était de plus connu pour être une gâchette un peu trop facile.
Il sortit trois billes d'agate, trésor de sa prime enfance.
Le dernier objet avant la housse de cuir était une longue cordelette de cuir. Dessus était attaché plain de petits objets: Boutons d'uniforme, morceau de sangle de cuir, douilles de cartouche, morceau de lame de couteau brisée, une bague en fer, un shrapnel de métal, un bout de bois de fort Sumter. a plusieurs endroits il y avait des étiquettes avec marqué des nom de lieux. Little horn, black hills, mountain river, fort Sumter, et la dernière étiquette Gettysburg. il passa les objets entre ses doigts. les premiers été liées avec des amis,
Un bouton de manchette; Frank l’idéaliste universitaire de Philadelphie: mort en voulant parlementer avec des indiens.
un douille de 22; Arthur le bourrin qui le couvrit de son corps lors d'une embuscade. quatre assaillants étaient morts pour le venger. Les munitions qui avait fait cela venait de Arthur.
...
plus loin, les objets sont lié à des personnes
l'anneau de ce grand type qui c'est fait transpercer le torse par un boulet suddiste.
un bout du couteau de cet italien nerveux qui est mort en tombant dans les escaliers sur sa propre lame.
...
ces doigts passe sur l'étiquette marqué fort Sumter.
...
plus loin, les objets été lié à des vagues souvenirs.
Ce mec d'à peine 16 ans qui le regardait.
l'anneau de fiançailles de ce beau parleur qu'il allait devenir président et arrêté la guerre.
...
Ces doigts passe sur l'étiquette marqué Gettysburg.
...
De temps en temps un objets appartenait à un ami.
l'hématite d'Oscar, le compagnon de fort Sumter.
le mèche d'Alvin, le cuistot qui chuta de sa carriole et se fit rouler dessus par un canon.
...
certains étaient mêmes à des ennemis.
Le petit crucifix de ce jeune suddiste qui avait menacer Arny.
il l'étend à bout de bras devant lui pour voir l'ensemble de la chaîne. Il la regarde dans son ensemble. Victime de la guerre, victime de ce qui a commencél à Gettysburg. Il pose la chainette sur la table.
Puis il sorti un livre à la couverture de cuir noir emballé dans un linge de la cantine du régiment, un encrier et une plume.
Le livre était vierge. Il avait demandé à William de l'acheter pour lui à Jenny. Sur la première page, il écrit de son écriture qui le ferait plus passé pour un lettré que pour un homme qui m'aime la forêt et la chasse. C'est le héritage de sa mère et des trop longues heures ou il devait faire des lignes plutôt que d'aller jouer dehors et courir les bois avec ses amis.
Journal d'Erik Paerson
selon les notes du carnet noir.
La porte du baraquement s'ouvre et Saul entre dans la pièce. Excité par son prototype de lame volante. Parlant tout seul. Erik rangea tout rapidement. Saul lui demanda ce qu'il faisait, il répondit qu'îl mettait les notes de sa rencontre avec les indiens au propre. Il hésita de dire à Soul qu'il avait un petit coup de blues, Que traverser Jenny lui avait trop rappeler Deppwood. Que sa terre natale lui manqua. Il se ravissa car Deppwood était encore plus douloureux pour Saul que Pour Erik. Gabrielle... à la place il répondit:
"je me remet mal des herbes indiennes, mais un bon verre de l'alcoool de guerre de William me ferait du bien, tu viens en boire avec moi ? "
Erik décroche la poche de cuir qu'il a à la ceinture. Il la pose sur le bureau de campagne. il regarde qu'il est seul. Puis il va chercher dans son sac une boite en bois. L'odeur qui s'en dégage le rend nostalgique. elle sent le bois humide. Cela lui rappelle sa terre natale; Deepwood.
Il vide le contenant de la pochette sur le bureau. et en fait rapidement l'inventaire.
- un carnet de note noir
- un crayon à papier
- une pièce de 10 cents
- Trois monocles et leurs chaines.
- une petite clé
Il prend la clé et ouvre la boîte.
Une douce senteur d'herbes et de fleurs séchés lui arrache une larme qui perle dans le verre d'HENNIEZ brunâtre qui est sur le bureau.
Il sort une plume de rapace. Sa rencontre avec le premier indien hostile à l'homme blanc qu'il a rencontré lors des guerre de pacification. Le premier homme qu'il a tué. Le jour ou les indiens n'ont plus été ces êtres légendaires qu'il ne pouvait pas trouver dans la forêt de Deepwood mais de potentiels ennemis qu'il faut tuer. Il la pose sur la table.
Il prend une feuille de Papier pliée pour en former une enveloppe. il l'ouvre dedans trois fleurs séchées. les vestiges conservés d'un bouquet de fleurs. Il se souvient de cette après midi ou il s'était pris de gueule avec ces amis au sujet de sa recherche des indiens de Deepwood. Il se souvient d'avoir penser qu'ils étaient bêtes de plus penser à servir Opale que de chercher les indiens. les personnes qui connaissent plus sur Billyboy et la colline du pendu que les gens de la colonie. il s'était faché et avait décidé de partir pour une chasse. Il se croyait prêt pour réussir ou mourir. Erik était passé voir sa mère. Il avait discuté un peu avec. Il avait promis qu'il ferait attention. En sortant il avait pris des fleurs dans la jardinière de sa maman. Elle lui avait fait la réflexion qu'elle ne faisait pas pousser des fleurs pour les petite copines de son fils. Erik avait répondu que le pluriel n'est pas nécessaire. Sa Mère avait souri alors qu'il partait. Comme une tradition, elle lui avait rappelé que l'inventaire des carnets été faux à l'école. Cela faisant 12 ans que c'était le cas. Il avait répondu qu'il corrigerait le stock un de ces jours. Cela faisant 12 ans qu'il le disait. C'était leurs façons de ce dire entre une mère et son fils: Je t'aime. Il était passé voir Elisabeth, la fille d'un agriculteur qui s'était installé à Deepwood il y a quelques années. il tapa à la porte mais quand il vit Elisabeth accompagné de son père, il cacha les trois fleurs derrière son dos. Malaise de la situation, il bredouilla qu'il partait quelques jours et il venait demander s'il voulait qu'il leurs ramène quelques proies. Le père d'Elisabeth sourit répondant que ce sera gentil de sa part. Il ne croyait pas du tout que c'était la raison de la venue du Fils Paerson. Mais il fit comme. Il promit au père de revenir rapidement avec les prises, mais son regard était posé sur la fille et il se disait, si je reviens de ma traque, je te demande en mariage. Puis il partit. Le même soir, alors qu'il bivouaquait en foret il vient ses amis arrivé vers lui lui parlé de ce qui s'était passé avec Opale. Polder était venu les rejoindre et l'avait pousser à accompagner ses amis. Il n'avait pas tenu ses promesses. Il avait fait sécher les fleurs dans le carnet noir qu'il avait pris à sa mère. Et il n'avait pas pu les jeter. Tel une relique d'une promesse de vie qu'il n'aurait jamais.
Dedans la boite il y avait un ruban bleu, il appartenait à la première fille qu'il avait amener à la grande pierre plate au bord de la rivière. Elle l'avait oublier en partant tout les deux trop élus d'avoir cueilli la petite fleur de l'autre pour la première fois.
William l'avait trouver et avait dit qu'un intrus était venue. Erik avait dit qu'il allait pister la trace et il avait pris le ruban à William. Il n'avait pas osé rendre le ruban à la fille car ses parents lui avait interdit de revoir leur fille. le Père était de plus connu pour être une gâchette un peu trop facile.
Il sortit trois billes d'agate, trésor de sa prime enfance.
Le dernier objet avant la housse de cuir était une longue cordelette de cuir. Dessus était attaché plain de petits objets: Boutons d'uniforme, morceau de sangle de cuir, douilles de cartouche, morceau de lame de couteau brisée, une bague en fer, un shrapnel de métal, un bout de bois de fort Sumter. a plusieurs endroits il y avait des étiquettes avec marqué des nom de lieux. Little horn, black hills, mountain river, fort Sumter, et la dernière étiquette Gettysburg. il passa les objets entre ses doigts. les premiers été liées avec des amis,
Un bouton de manchette; Frank l’idéaliste universitaire de Philadelphie: mort en voulant parlementer avec des indiens.
un douille de 22; Arthur le bourrin qui le couvrit de son corps lors d'une embuscade. quatre assaillants étaient morts pour le venger. Les munitions qui avait fait cela venait de Arthur.
...
plus loin, les objets sont lié à des personnes
l'anneau de ce grand type qui c'est fait transpercer le torse par un boulet suddiste.
un bout du couteau de cet italien nerveux qui est mort en tombant dans les escaliers sur sa propre lame.
...
ces doigts passe sur l'étiquette marqué fort Sumter.
...
plus loin, les objets été lié à des vagues souvenirs.
Ce mec d'à peine 16 ans qui le regardait.
l'anneau de fiançailles de ce beau parleur qu'il allait devenir président et arrêté la guerre.
...
Ces doigts passe sur l'étiquette marqué Gettysburg.
...
De temps en temps un objets appartenait à un ami.
l'hématite d'Oscar, le compagnon de fort Sumter.
le mèche d'Alvin, le cuistot qui chuta de sa carriole et se fit rouler dessus par un canon.
...
certains étaient mêmes à des ennemis.
Le petit crucifix de ce jeune suddiste qui avait menacer Arny.
il l'étend à bout de bras devant lui pour voir l'ensemble de la chaîne. Il la regarde dans son ensemble. Victime de la guerre, victime de ce qui a commencél à Gettysburg. Il pose la chainette sur la table.
Puis il sorti un livre à la couverture de cuir noir emballé dans un linge de la cantine du régiment, un encrier et une plume.
Le livre était vierge. Il avait demandé à William de l'acheter pour lui à Jenny. Sur la première page, il écrit de son écriture qui le ferait plus passé pour un lettré que pour un homme qui m'aime la forêt et la chasse. C'est le héritage de sa mère et des trop longues heures ou il devait faire des lignes plutôt que d'aller jouer dehors et courir les bois avec ses amis.
Journal d'Erik Paerson
selon les notes du carnet noir.
La porte du baraquement s'ouvre et Saul entre dans la pièce. Excité par son prototype de lame volante. Parlant tout seul. Erik rangea tout rapidement. Saul lui demanda ce qu'il faisait, il répondit qu'îl mettait les notes de sa rencontre avec les indiens au propre. Il hésita de dire à Soul qu'il avait un petit coup de blues, Que traverser Jenny lui avait trop rappeler Deppwood. Que sa terre natale lui manqua. Il se ravissa car Deppwood était encore plus douloureux pour Saul que Pour Erik. Gabrielle... à la place il répondit:
"je me remet mal des herbes indiennes, mais un bon verre de l'alcoool de guerre de William me ferait du bien, tu viens en boire avec moi ? "