Oleg, sa vie, ses (més)aventures
Publié : jeu. févr. 16, 2017 10:45 am
Oleg « Venustus Rusticus », filius Agricola Magna, ex Verditius
Oleg est plutôt petit, trapu, très habile, mais d’une lenteur exaspérante. Ses yeux comme deux billes de turquoise trahissent son héritage féérique, de même que sa barbe garnie de minuscule myosotis.
Lorsqu’Oleg a dû choisir son nom de mage, il n’avait pas réfléchi à la question, et « Aimable paysan » est ce qui lui est venu à l’esprit. Ce qui lui a valu quelques ricanements, mais rien qui ne puisse ternir son éternelle bonne humeur.
Alors que la plupart de ses confrères Verditius se lançaient des défis parmi déjà durant leur apprentissage, personne n’est venu lui chercher des noises. Il faut dire que pas grand monde ne comprenait ce qu’il disait lorsqu’il expliquait sa magie ou ses sorts.
Selon les mages de son alliance, ils ne l’ont jamais vu dans la bibliothèque. Certains se demandent même s’il sait lire.
D'autres se demandent même s’il mérite son titre de mage, il paraîtrai que Codex Regulus, un jeune Quaesitor, aurait commencé à monter un dossier contre Oleg : pratique païenne, incompétence, interférence avec les vulgaires…
Oleg semble ignorer complètement de la cabale qui se prépare.
En attendant, le vieux Peregrinus, un vénérable Toque Rouge, lui a fait une offre : en échange de s’occuper d’un relai de la maison Mercere, il aurait laboratoire, aura et multitude de sources de virtus à disposition. Qui plus est, tous ces vieux Toques Rouges qui y vivent à demeure possèdent une masse de connaissance et ne demandent qu’à la partager, pour peu qu'on soit disposer à pardonner leurs radotages.
Quelques mois plus tard, au printemps 1200, Oleg s’installe à Turpe domi, le Foyer Gourmand, non loin du village de Porozek, lui-même situé à mi-chemin entre Novgorod et la mer Baltique.
Oleg est plutôt petit, trapu, très habile, mais d’une lenteur exaspérante. Ses yeux comme deux billes de turquoise trahissent son héritage féérique, de même que sa barbe garnie de minuscule myosotis.
Lorsqu’Oleg a dû choisir son nom de mage, il n’avait pas réfléchi à la question, et « Aimable paysan » est ce qui lui est venu à l’esprit. Ce qui lui a valu quelques ricanements, mais rien qui ne puisse ternir son éternelle bonne humeur.
Alors que la plupart de ses confrères Verditius se lançaient des défis parmi déjà durant leur apprentissage, personne n’est venu lui chercher des noises. Il faut dire que pas grand monde ne comprenait ce qu’il disait lorsqu’il expliquait sa magie ou ses sorts.
Selon les mages de son alliance, ils ne l’ont jamais vu dans la bibliothèque. Certains se demandent même s’il sait lire.
D'autres se demandent même s’il mérite son titre de mage, il paraîtrai que Codex Regulus, un jeune Quaesitor, aurait commencé à monter un dossier contre Oleg : pratique païenne, incompétence, interférence avec les vulgaires…
Oleg semble ignorer complètement de la cabale qui se prépare.
En attendant, le vieux Peregrinus, un vénérable Toque Rouge, lui a fait une offre : en échange de s’occuper d’un relai de la maison Mercere, il aurait laboratoire, aura et multitude de sources de virtus à disposition. Qui plus est, tous ces vieux Toques Rouges qui y vivent à demeure possèdent une masse de connaissance et ne demandent qu’à la partager, pour peu qu'on soit disposer à pardonner leurs radotages.
Quelques mois plus tard, au printemps 1200, Oleg s’installe à Turpe domi, le Foyer Gourmand, non loin du village de Porozek, lui-même situé à mi-chemin entre Novgorod et la mer Baltique.