Coupures de presse du monde
Publié : mer. nov. 10, 2004 7:33 am
Traduit de la Pravda
Edition du 7 octobre 2004
Catastrophe volcanique à Golgosk
Golgosk était jusqu’à ce matin encore une petite ville de 15'000 habitants, située à une soixantaine au Nord-ouest de Samarkand. Elle n’est désormais plus qu’un champ de ruines fumantes.
La ville a été victime d’une catastrophe sans précédent dans l’histoire de la sismologie moderne. A 2h07, un terrible tremblement de terre a secoué une première fois Golgosk, suivi quelques minutes plus tard par l’apparition progressive d’un volcan en lisière de la ville.
Ce volcan entra immédiatement en éruption déversant des flots de lave brûlante dans les rues de la ville alors que la plupart de ses habitants étaient à peine éveillé. L’éruption n’allait se calmer qu’avec les lueurs de l’aube. Le spectacle se découvrant aux yeux des observateurs étaient au-delà des pires films catastrophes : plus de la moitié de la ville étaie en proie aux flammes alors que des rues entières avaient disparu sous la lave.
Les premiers bilans font état de plus de 1'500 morts, 3'500 disparus, et les quelques dix milles survivants ont du être évacués vers plusieurs camps de fortune à proximité de Samarkand. L’armée peine à organiser des secours, et le commandement semble incohérent puisque plusieurs colonnes lourdement armées ont été aperçues s’éloignant de la ville, y compris vers Golgosk.
Le gouverneur de la région, le Pr. Umar Kadanskov, a demandé l’aide de Moscou.
Incompréhension du monde scientifique
Les sismologues du monde entier n’ont aucun explication possible sur ce phénomène soudain. Samarkand et sa région se trouvent à plusieurs milliers de kilomètres de la faille tectonique la plus proche et jamais la moindre activité sismique n’y a été détectée.
Faut-il mettre cette ignorance sur un oubli général de la communauté scientifique. Coïncidence ou sinistre augure, quelques jours plus tôt (le 4 octobre), une éclipse solaire totale couvrait la région pendant quelques minutes. De manière tout aussi inexplicable, la communauté des astronomes semblait avoir « oublié » dans ses calculs prédictifs l’avènement d’un tel phénomène, et ce n’était que quelques jours avant la dite éclipse qu’elle avait été annoncé au monde entier. Non sans avoir été prévue d’abord par plusieurs astronomes amateurs.
Flash de dernière minute
Selon des sources bien informées, le premier gros porteur envoyé par Moscou pour prêter secours aux habitants de Golgosk a été abattu en vol alors qu’il allait se poser à l’aéroport Timour de Samarkand.
L’avion de type Hercule A900 transportait 200 tonnes de matériel et trente volontaires du corps d’aide en cas de catastrophe.
Selon les témoignages l’avion se trouvait en phase d’approche lorsqu’un missile de type sol-air l’a atteint de plein fouet, le détruisant complètement.
Une revendication d’un groupe indépendantiste tchétchènes a été reçu par l’agence Tass de Samarkand. Pourtant plusieurs témoins affirment avoir vu le missile partir depuis une des bases mobiles stationnées dans la région. Les spéculations allaient déjà bon train suite au déploiement apparemment inexplicables de la garnison dans divers endroit de la région, et cet incident inquiète beaucoup les autorités de Moscou, même si celles-ci se refusent à faire le moindre commentaires.
La thèse privilégiée est celle d’un incident de tir, d’autant plus que la région n’est pas connue pour abriter un mouvement indépendantiste ou nationaliste.
Edition du 7 octobre 2004
Catastrophe volcanique à Golgosk
Golgosk était jusqu’à ce matin encore une petite ville de 15'000 habitants, située à une soixantaine au Nord-ouest de Samarkand. Elle n’est désormais plus qu’un champ de ruines fumantes.
La ville a été victime d’une catastrophe sans précédent dans l’histoire de la sismologie moderne. A 2h07, un terrible tremblement de terre a secoué une première fois Golgosk, suivi quelques minutes plus tard par l’apparition progressive d’un volcan en lisière de la ville.
Ce volcan entra immédiatement en éruption déversant des flots de lave brûlante dans les rues de la ville alors que la plupart de ses habitants étaient à peine éveillé. L’éruption n’allait se calmer qu’avec les lueurs de l’aube. Le spectacle se découvrant aux yeux des observateurs étaient au-delà des pires films catastrophes : plus de la moitié de la ville étaie en proie aux flammes alors que des rues entières avaient disparu sous la lave.
Les premiers bilans font état de plus de 1'500 morts, 3'500 disparus, et les quelques dix milles survivants ont du être évacués vers plusieurs camps de fortune à proximité de Samarkand. L’armée peine à organiser des secours, et le commandement semble incohérent puisque plusieurs colonnes lourdement armées ont été aperçues s’éloignant de la ville, y compris vers Golgosk.
Le gouverneur de la région, le Pr. Umar Kadanskov, a demandé l’aide de Moscou.
Incompréhension du monde scientifique
Les sismologues du monde entier n’ont aucun explication possible sur ce phénomène soudain. Samarkand et sa région se trouvent à plusieurs milliers de kilomètres de la faille tectonique la plus proche et jamais la moindre activité sismique n’y a été détectée.
Faut-il mettre cette ignorance sur un oubli général de la communauté scientifique. Coïncidence ou sinistre augure, quelques jours plus tôt (le 4 octobre), une éclipse solaire totale couvrait la région pendant quelques minutes. De manière tout aussi inexplicable, la communauté des astronomes semblait avoir « oublié » dans ses calculs prédictifs l’avènement d’un tel phénomène, et ce n’était que quelques jours avant la dite éclipse qu’elle avait été annoncé au monde entier. Non sans avoir été prévue d’abord par plusieurs astronomes amateurs.
Flash de dernière minute
Selon des sources bien informées, le premier gros porteur envoyé par Moscou pour prêter secours aux habitants de Golgosk a été abattu en vol alors qu’il allait se poser à l’aéroport Timour de Samarkand.
L’avion de type Hercule A900 transportait 200 tonnes de matériel et trente volontaires du corps d’aide en cas de catastrophe.
Selon les témoignages l’avion se trouvait en phase d’approche lorsqu’un missile de type sol-air l’a atteint de plein fouet, le détruisant complètement.
Une revendication d’un groupe indépendantiste tchétchènes a été reçu par l’agence Tass de Samarkand. Pourtant plusieurs témoins affirment avoir vu le missile partir depuis une des bases mobiles stationnées dans la région. Les spéculations allaient déjà bon train suite au déploiement apparemment inexplicables de la garnison dans divers endroit de la région, et cet incident inquiète beaucoup les autorités de Moscou, même si celles-ci se refusent à faire le moindre commentaires.
La thèse privilégiée est celle d’un incident de tir, d’autant plus que la région n’est pas connue pour abriter un mouvement indépendantiste ou nationaliste.