Les lettres à cousine Margareth
Publié : sam. mai 30, 2020 8:59 am
Cher Cousin.
Comme votre missive a su allumé de la joie chez notre Sandra ! Vos aventures, que vous narrer avec votre style inimitable sont lues encore et encore par Père au Club sous la stricte et enthousiaste houlette de Mère. Tous les deux sont tellement heureux de partager par vos écrits la folle quête humaniste qu’est la vôtre.
Votre dernier récit de chasse à fait un fort émoi au sein de l’Explorer Assoication. Il y a eu même des mots sur vos descriptions de la cyclopéenne créature que vous abattîtes, prêtant ainsi main forte à la juste et Homérique revanche de Monsieur Towers. Je dois de vous avouer, mon cousin, être aussi heureuse qu’inquiète à la lecture de vos prouesses. Je sais bien que Monsieur Mc Dowells n’aurai pas pris le risque de vous laisser ainsi partir pour le Grand Ouest. Je dois quand même vous confesser que je reste votre indéfectible inquiète sentinelle, guettant votre retour au dernier virage du parc de la famille. J’attends, là, dans l’écrin qui veillez sur nos jeux d’enfants votre retour et de pouvoir à nouveau vous avoir pour moi seule.
Je vous imagine déjà, taquin, m’agacer gentiment et me reprocher une jalousie qu’une Lady de ma qualité ne saurait coucher sur le papier d’un mot à l’attention de son cousin. Enfin, très cher William, je n’attends de vous que le stricte nécessaire. Revenez moi entier et avec dans votre escarcelles toutes sortent de contes et d’aventures que vous aurez gardé secrètes, pour mes seules oreilles.
J’ai temps de questions ! Avez-vous rencontré des sauvages ? Des sorciers ? Quid des fameux automates qui abattent le labeur de quatre ouvriers ?
Déjà je m’impatiente de votre réponse mon ami.
Je me dois de vous donner des nouvelles de votre cher cœur. Elle se porte comme un charme, toujours boudeuse et ombrageuse lorsque nous évoquons vos prouesses dans l’Ouest. Que voulez - vous, mon cher, la laisser derrière vous alors que vous partîtes en quête d’exploits, voilà ce que notre impétueuse demoiselle ne saurait tolérer… Je ne saurai trop que vous recommander de revenir avec un imposant trophée et une magnifique arme a magasin que seuls ces fous d’ingénieurs savent créer à Salt Lake…
Pour le reste les affaires et la famille restent ce qu’elles sont : D’industrieux et ennuyeux gentlemen et Ladys faisant fructifier l’avoir de Grand Père…
Bref, vous le lisez, mon ami, mon cousin, écrivez moi encore, ne soyez pas avare de vos mots qui me transporte !
Bien à vous William
Margareth
Après avoir enduit le document d’un réactif breveté du Docteur Sterling, le message, tracer dans la trame du document apparaît :
Merci pour vos comptes rendus précis. Plusieurs indicateurs tendent vers un moment d’importance dans la région de Salt Lake. L’espionne de la Pinkerton semble avoir lever un lièvre très important. Je vous laisse les coudées franches pour manœuvrer un maximum dans cette direction. Nous aurions beaucoup de curiosité concernant ce fameux liquide. Peut être arriveriez vous à en subtiliser une toute petite quantité à transmettre à notre avoué venu pour le brevet de l'Abomination nous permettrait de mener une expertise de notre coté.
Le Necromant Saul est aussi dangereux que pressentit, si la situation semble échapper à tout contrôle, il doit être stoppé par tous les moyens. L’industrialisation cette magie noire est extrêmement préoccupante. Merci d’être intervenu avec tact.
Monsieur Mc Coormik reste un mystère absolu. Soyez vigilant.
La machination du gang quant aux dessins de Tesla semblent aller dans une direction d’intérêt, nous vous laissons toute latitude dans ce domaine. Les contacts qu’ils nouent sont aussi digne d’intérêt, cela nous permet un catalogage de différents groupes très intéressant.
Nous avons pris contact avec les érudit du Projet Miskatonic concernant les Zéphires… Nous vous enverrons un rapport si cela donne quelque chose.
Nous sommes les chasseurs.
Comme votre missive a su allumé de la joie chez notre Sandra ! Vos aventures, que vous narrer avec votre style inimitable sont lues encore et encore par Père au Club sous la stricte et enthousiaste houlette de Mère. Tous les deux sont tellement heureux de partager par vos écrits la folle quête humaniste qu’est la vôtre.
Votre dernier récit de chasse à fait un fort émoi au sein de l’Explorer Assoication. Il y a eu même des mots sur vos descriptions de la cyclopéenne créature que vous abattîtes, prêtant ainsi main forte à la juste et Homérique revanche de Monsieur Towers. Je dois de vous avouer, mon cousin, être aussi heureuse qu’inquiète à la lecture de vos prouesses. Je sais bien que Monsieur Mc Dowells n’aurai pas pris le risque de vous laisser ainsi partir pour le Grand Ouest. Je dois quand même vous confesser que je reste votre indéfectible inquiète sentinelle, guettant votre retour au dernier virage du parc de la famille. J’attends, là, dans l’écrin qui veillez sur nos jeux d’enfants votre retour et de pouvoir à nouveau vous avoir pour moi seule.
Je vous imagine déjà, taquin, m’agacer gentiment et me reprocher une jalousie qu’une Lady de ma qualité ne saurait coucher sur le papier d’un mot à l’attention de son cousin. Enfin, très cher William, je n’attends de vous que le stricte nécessaire. Revenez moi entier et avec dans votre escarcelles toutes sortent de contes et d’aventures que vous aurez gardé secrètes, pour mes seules oreilles.
J’ai temps de questions ! Avez-vous rencontré des sauvages ? Des sorciers ? Quid des fameux automates qui abattent le labeur de quatre ouvriers ?
Déjà je m’impatiente de votre réponse mon ami.
Je me dois de vous donner des nouvelles de votre cher cœur. Elle se porte comme un charme, toujours boudeuse et ombrageuse lorsque nous évoquons vos prouesses dans l’Ouest. Que voulez - vous, mon cher, la laisser derrière vous alors que vous partîtes en quête d’exploits, voilà ce que notre impétueuse demoiselle ne saurait tolérer… Je ne saurai trop que vous recommander de revenir avec un imposant trophée et une magnifique arme a magasin que seuls ces fous d’ingénieurs savent créer à Salt Lake…
Pour le reste les affaires et la famille restent ce qu’elles sont : D’industrieux et ennuyeux gentlemen et Ladys faisant fructifier l’avoir de Grand Père…
Bref, vous le lisez, mon ami, mon cousin, écrivez moi encore, ne soyez pas avare de vos mots qui me transporte !
Bien à vous William
Margareth
Après avoir enduit le document d’un réactif breveté du Docteur Sterling, le message, tracer dans la trame du document apparaît :
Merci pour vos comptes rendus précis. Plusieurs indicateurs tendent vers un moment d’importance dans la région de Salt Lake. L’espionne de la Pinkerton semble avoir lever un lièvre très important. Je vous laisse les coudées franches pour manœuvrer un maximum dans cette direction. Nous aurions beaucoup de curiosité concernant ce fameux liquide. Peut être arriveriez vous à en subtiliser une toute petite quantité à transmettre à notre avoué venu pour le brevet de l'Abomination nous permettrait de mener une expertise de notre coté.
Le Necromant Saul est aussi dangereux que pressentit, si la situation semble échapper à tout contrôle, il doit être stoppé par tous les moyens. L’industrialisation cette magie noire est extrêmement préoccupante. Merci d’être intervenu avec tact.
Monsieur Mc Coormik reste un mystère absolu. Soyez vigilant.
La machination du gang quant aux dessins de Tesla semblent aller dans une direction d’intérêt, nous vous laissons toute latitude dans ce domaine. Les contacts qu’ils nouent sont aussi digne d’intérêt, cela nous permet un catalogage de différents groupes très intéressant.
Nous avons pris contact avec les érudit du Projet Miskatonic concernant les Zéphires… Nous vous enverrons un rapport si cela donne quelque chose.
Nous sommes les chasseurs.