2012
Publié : mer. avr. 06, 2005 1:59 pm
2012...
L’armée entre en croisade dans des villes hystériques, en proie à la panique et au pillage, et les véhicules blindés arpentent les rues jonchées de verre et de débris. L’exode se généralise dans la plupart des pays occidentaux et les routes se transforment en une interminable procession d’hommes et de femmes terrifiés. Malgré les appels au calme des gouvernements, les villes s’abandonnent à la vermine, aux pillards et aux soldats, qui se livrent une guerre désespérée pour le maintient d’un semblant de civilisation. En Amérique du Nord et en Europe du Sud, les champs subissent les assauts de nuées de sauterelles, contre lesquelles les insecticides semblent inefficaces, et les pays d’Europe de l’Est tremblent sous la menace de hordes de cafars, de moustiques et de charognards. Les villages désertés à la hâte servent de nids aux araignées, les bas-côtés des routes s’emplissent de véhicules accidentés et l’Homme alimente le chaos par sa terreur et son impuissance.
Les égouts et les souterrains des grandes villes deviennent l’antre grouillant des vers, des parasites, des monstres gorgés de produits chimiques militaires. En surface, les rues sont à feu et à sang, ravagées par les dernières campagnes insecticides et les premières interventions armées des soldats, qui tentent de faire face aux hordes d’araignées, de reptiles et d’insectes émergeant sans relâche du métro, en quête de nourriture. Les troupeaux sont impitoyablement décimés par les plus gros prédateurs, désormais incapables de se satisfaire de mouches ou de petits nuisibles.
Mobilisé pour faire face au péril insecte, l’armée se retrouve confrontée aux émeutes, aux fuyards, aux fanatiques armés et aux attentats terroristes de plus en plus violents. Convaincus de la nécessité d’un traitement à grande échelle, les gouvernements se lancent dans une campagne insecticides frénétiques qui plonge le monde occidental dans une guerre ouverte contre le fléau vermine. Les zones de conflit se multiplient aux frontières des Etats déchirés, et les armes bactériologiques déciment des centaines de milliers de personnes sans qu’aucun organisme international ne soit capable d’intervenir. Les premières communautés de radicaux se barricadent derière les murs de complexes militaires, investis de force, ou d’usines de conditionnement censées assurer quelques mois de survie alimentaire. Les gangs ravagent les villes en feu, les fanatiques tombent sous les balles de l’armée et les morsures des atrocités grouillantes...
En moins d’une dizaine d’années, l’horreur devient réalité sur l’ensemble du globe.
En bref:
-Etats-Unis, Russie, France... Les gouvernements votent l’intervention sanitaire de l’armée
-Des convois de déchets radioactifs sont pris d’assaut par les éco-terroristes
-Des alertes à l’Ebola font trembler les pays de l’Est
L’armée entre en croisade dans des villes hystériques, en proie à la panique et au pillage, et les véhicules blindés arpentent les rues jonchées de verre et de débris. L’exode se généralise dans la plupart des pays occidentaux et les routes se transforment en une interminable procession d’hommes et de femmes terrifiés. Malgré les appels au calme des gouvernements, les villes s’abandonnent à la vermine, aux pillards et aux soldats, qui se livrent une guerre désespérée pour le maintient d’un semblant de civilisation. En Amérique du Nord et en Europe du Sud, les champs subissent les assauts de nuées de sauterelles, contre lesquelles les insecticides semblent inefficaces, et les pays d’Europe de l’Est tremblent sous la menace de hordes de cafars, de moustiques et de charognards. Les villages désertés à la hâte servent de nids aux araignées, les bas-côtés des routes s’emplissent de véhicules accidentés et l’Homme alimente le chaos par sa terreur et son impuissance.
Les égouts et les souterrains des grandes villes deviennent l’antre grouillant des vers, des parasites, des monstres gorgés de produits chimiques militaires. En surface, les rues sont à feu et à sang, ravagées par les dernières campagnes insecticides et les premières interventions armées des soldats, qui tentent de faire face aux hordes d’araignées, de reptiles et d’insectes émergeant sans relâche du métro, en quête de nourriture. Les troupeaux sont impitoyablement décimés par les plus gros prédateurs, désormais incapables de se satisfaire de mouches ou de petits nuisibles.
Mobilisé pour faire face au péril insecte, l’armée se retrouve confrontée aux émeutes, aux fuyards, aux fanatiques armés et aux attentats terroristes de plus en plus violents. Convaincus de la nécessité d’un traitement à grande échelle, les gouvernements se lancent dans une campagne insecticides frénétiques qui plonge le monde occidental dans une guerre ouverte contre le fléau vermine. Les zones de conflit se multiplient aux frontières des Etats déchirés, et les armes bactériologiques déciment des centaines de milliers de personnes sans qu’aucun organisme international ne soit capable d’intervenir. Les premières communautés de radicaux se barricadent derière les murs de complexes militaires, investis de force, ou d’usines de conditionnement censées assurer quelques mois de survie alimentaire. Les gangs ravagent les villes en feu, les fanatiques tombent sous les balles de l’armée et les morsures des atrocités grouillantes...
En moins d’une dizaine d’années, l’horreur devient réalité sur l’ensemble du globe.
En bref:
-Etats-Unis, Russie, France... Les gouvernements votent l’intervention sanitaire de l’armée
-Des convois de déchets radioactifs sont pris d’assaut par les éco-terroristes
-Des alertes à l’Ebola font trembler les pays de l’Est